Lettre à son Altesse Macron 1er, » LE SAIGNEUR DES RETRAITES «
Sire,
Je voudrais vous féliciter il en a fallu du courage
Pour décider de ponctionner
De leurs soi-disant avantages
Tous ces bienheureux retraités.
Il est vrai qu’ils sont redoutables
Et pour tout dire presque enragés
Avec leurs béquilles, leurs bandages
Sans parler des chaises percées.
Il y a même un bon côté
Peu s’en iront à l’abordage
Afin d’incendier l’Élysée
Ou de construire des barrages.
Et puis ils vont bientôt crever
Alors pourquoi donc s’en priver ?
Peut-être vous a-t-il échappé.
Ce que fut leur enfance dorée ?
La deuxième guerre mondiale
Avec son lot de privations
De bombardements, un régal
Pour qui aime les films d’action.
Et ensuite ce fut l’école
Où l’on passa bien peu de temps
Pas comme certains guignols
Qui n’en sortent qu’à 27 ans.
Souvent après c’était l’usine
Où l’on entrait à 14 ans
Quarante-huit heures par semaine
Quinze jours de congés payés…
Vraiment l’existence rêvée.
Ils ont travaillé jusqu’à 60 ans et plus
Pour 40 ans voire plus pour obtenir leur retraite
Payé leurs cotisations pour leur retraite
Et des impôts sur leur salaire
Et à leur retraite repayer
Des cotisations sur des cotisations déjà payées.
Votre service militaire
Dites-moi où l’avez-vous fait ?
Pour nous, 28 mois d’une guerre
Trente mille jeunes y sont tombés
Mais cela n’est pas votre affaire
Pour le résultat qu’on connaît.
Alors pourquoi donc se gêner
Pressurons-les tous ces nantis
Pour pouvoir mieux distribuer
Aux arrivants de ces pays
Qui jamais n’auront travaillé
Ni cotisé, que nenni.
Pour ce qui est du logement
Mon Dieu que nous fûmes gâtés
A six dans l’appartement
D’ à peine soixante mètres carrés
Sans aucune des commodités
Qu’on accorde généreusement
Même aux nouveaux arrivés.
Sans doute l’histoire de France
N’est pas votre tasse de thé
Elle fût traitée en votre absence
Ou bien vous l’avez oubliée.
Pas nous !
Un jour, vous vous en apercevrez…
Macron, le Saigneur des retraités !
Appelons désormais Macron, le Saigneur des retraités car c’est
vraiment le titre qui lui convient.
Surtout ne pas se plaindre et critiquer quand on choisit de ne
rien faire et ne rien dire !
ON EN A TOUS RAS LE BOL !
Alors Diffusons ! Soyez Acteurs concrètement ! Internet est le
moyen de nous défendre !!
Avec seulement l’envoi d’un mail à 5 de vos Contacts, (soit 30
sec de votre temps précieux pour peut être « Aider » votre Pays), vous
serez chacun à l’origine, dans 3 mois, d’1 Million de mails ou de
personnes.
Et celle-là :
Vous êtes jeune et beau, nous devenons vieillards.
On compte en petits sous, vous comptez en milliards.
La flamme de lespoir, chez nous, elle vacille,
Vous, par votre fonction, vous pensez quelle brille !
Les ailes du pouvoir vous ont fait envoler,
Vers des cieux bien lointains à ne plus avoir pied ;
Éloigné du réel et du tout quotidien,
Souvenez-vous, quen bas, habitent des humains.
Pourquoi punissez-vous notre caste vieillesse ?
Pourtant elle a trimé toute sa vie durant !
Elle a sacrifié sa si belle jeunesse,
Cela fut bien trop tôt, dès lâge de quinze ans ;
Des huit heures par jour, et six jours par semaine,
Sans congés, ou si peu, nous passâmes ce temps,
A bâtir notre toit à sen péter nos veines,
Pour être à labri aux vieux jours arrivant.
Non ! On na rien volé !
Si ce nest de nos ailes !
On avait des principes, on faisait son devoir,
On ne quémandait pas aux belles demoiselles
Ces caisses de létat, ces faciles abreuvoirs.
Avec nos seules mains, et beaucoup de fierté
On travaillait très dur du matin jusquau soir ;
Oui ! Cétait notre honneur, notre esprit du clocher,
Animé par un mot qui sappelait Espoir :
Lespoir pour nos vieux jours avant léternité,
De voir un coin de bleu, avant le grand trou noir.
Monsieur le Président, toute notre jeunesse
On paya la vignette pour aider nos aïeux,
Elle servait, déjà !
A renflouer des caisses,
Cet argent disparu à La barbe des vieux !….
Solidarité ! Généreuse rengaine,
Que vous chantez à ceux qui travaillent, et peinent,
Et Piquez notre argent pour tous les endormis,
Qui eux ! Nhésitent pas à rester dans leur lit ;
Nous, nous avons vécu sans aide !
Mais promesses !!!!!
En vrai chef de famille assumant son foyer,
Quand vous nous ponctionnez pour La pauvre jeunesse
Sur nos retraites acquises en toute honnêteté,
On sinsurge, Monsieur ! Plutôt, on se révolte !
Devant votre justice vraiment imméritée,
Car votre doigt pointé sur le lieu de récolte,
A désigné les vieux comme gens argentés.
Est-ce que vous savez ce quest une famille ?
Vous qui navez pas, et naurez pas denfant.
Nous, nous aspirions quà un moment tranquille,
Gagné par le travail, la sueur et le sang.
Cest drôle ! Hilarant ! Cest même pitoyable,
Quand un énarque dit : « Cest pour légalité »
Mais octroie des pensions de façon lamentable,
Aux vieux venus dailleurs, qui nont pas travaillé.
Elle est belle Monsieur ! La généreuse France,
Dans ses excès de zèle et de Fraternité !
Écoutant vos Ministres, on a froid dans le dos,
Ils clament que les vieux on fait leur temps sur terre ;
De Gaulle avait dit : « Les Français sont des veaux »
Ouvrez des abattoirs pour tous les volontaires,
Mais je vous le parie, ce sera un fiasco.
Et pas de bousculades au Marin cimetière .
Nous préfèrerons nous rappeler dun mot
Fuir et embarquer pour lIonienne Cythère
Vos soumis maroquins, jurent et promettent,
Quil ny aura jamais plus, de taxes, et dimpôts.
Mais le lendemain ils se trouvent très bête
A lannonce subtile, daugmentations de taux.
Vous devriez conseiller à tous vos bons Ministres,
De parler de cela, que les premiers Avril,
Leurs propos qui sont, des plus anthraconistre,
Feraient de bonnes blagues en ce jour puéril.
Vous rejetez les vieux, vous naimez pas la pierre,
Car votre patrimoine, vide dimmobilier,
Laissait bien présager de façon maneuvrière,
Que tout lintransportable, vous le surtaxeriez ;
Même si pour donner En même temps le change
Oui ! Vous faites un cadeau ! Mais quoffrent les cités
Il faut dans nos vieux jours bien plus que du courage,
Pour avoir sa maison, et vivre en son foyer.
Laction et la startup ont votre préférence,
Cest limmatériel, linvisible parfait,
Si cela est pour vous lavenir de la France,
Il nest pas pour autant le bonheur des Français.
Vous vous trompez, Monsieur, car vous brisez des rêves,
Les esprits bâtisseurs, déjà désenchantés,
Ont rangé les outils et mis la pierre en grève,
Et votre économie en est désaffectée.
Taxer ! Taxer ! Taxer ! Ce nest pas du courage.
Cest même son contraire, et la facilité,
Nous sommes, il est vrai, de dociles otages,
Partir serait pour nous, trop de complexité !
Il vous faut de largent ?… Montrez votre puissance !
A tout politicien aux rentes cumulées,
Payez-en une seule ; Ce pas vers la décence,
Serait déjà un signe de bonne volonté.
Avec tout le respect pour votre Présidence,
– Acquise sans ma voix – Aux prochaines élections,
Je rêve que les vieux de notre Pauvre France
Oublient votre parti, et oublient votre nom.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la république, mes salutations les plus distinguées
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