Archive | février 2021

Pot de départ clandestin, restaurant en cachette… Quand certains serviteurs de l’État ne font qu’une bouchée des règles sanitaires…

Danger : Tous ces gens agissent comme si le coronavirus n’était pas dangereux. Ils mettent en danger la vie d’autrui, au même titre que ceux qui portent leur masque en dessous du nez dans les lieux clos, à moins de 2 mètres des autres.

Bien évidemment, il n’y aura pas de sanctions exemplaires face à ces intouchables.

Enquête Franceinfo

Raphaël Godet – Publié le 17/02/2021 07:01 Mis à jour le 17/02/2021 13:12

En pleine crise sanitaire, une poignée d’agents de l’État ont enfreint les règles qu’ils sont pourtant censés faire appliquer aux citoyens lambda. Au risque de perdre leur poste et de salir au passage l’image de leur institution.

Le petit groupe s’est remis en rang d’oignons, a refait quelques moulinets avec les bras, en attendant que le refrain arrive. Quelques notes plus tard, nous y voilà : « Heeeeey Macarenaaaa ! » Histoire de créer un mini dancefloor, on a poussé les chaises et les tables sur les côtés, apporté quelques boissons et de quoi grignoter. Une collègue qui est mutée ailleurs, ça s’arrose. A ceci près que… la fête a lieu dans le commissariat d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), que les danseurs sont en fait des policiers, que nous sommes le 22 janvier 2021, qu’ils sont une trentaine, sans masque, ni distanciation physique, et qu’il y a normalement couvre-feu pour tout le monde. En pleine pandémie de coronavirus, les images font tache au sein d’une institution où l’on aime l’ordre et la discrétion.

Neuf jours plus tard, le 31 janvier, deux vacataires de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) remettent le couvert. Ils sont tranquillement installés à la terrasse fermée d’un restaurant, situé sur le bien-nommé boulevard du Palais, pile en face de la cour d’appel de Paris, quand des policiers à vélo leur tombent dessus pour les verbaliser. La veille, 700 kilomètres plus au sud, le commissaire central de Carpentras (Vaucluse) est contrôlé par ses propres fonctionnaires, en train de déjeuner dans un restaurant de la ville en compagnie d’un vice-procureur.

C’est ainsi : plusieurs serviteurs de l’Etat, de différents corps, ont récemment été pris la main dans le panier à salade, en train d’enfreindre les règles en vigueur, qu’ils sont pourtant eux-mêmes supposés faire appliquer aux citoyens lambda. Dans les commissariats de France comme dans les palais de justice, on n’en revient pas « de ces histoires ». « Ça la fout mal, franchement, réagit à chaud un policier du 19e arrondissement de Paris. Il y a un côté ‘faites ce que je dis, pas ce que je fais’ qui est terrible. Moi, j’en serais in-ca-pable. »

« Les collègues qui se sont fait toper dans la gueule du loup en train de danser la ‘Macarena’. Pardon mais c’est la honte, vraiment la honte. »Un policier parisien

à franceinfo

Un commissaire en poste dans le nord-est de la capitale manque lui aussi de s’étouffer. « Ils ne sont pas malins… Comment veux-tu être crédible après ? » « Lorsque l’on prête serment et que l’on exerce de telles fonctions, on se doit d’être irréprochable », peste une greffière entre deux portes.

Des policiers contrôlent un bar à Paris, le 3 février 2021. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)
Des policiers contrôlent un bar à Paris, le 3 février 2021. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

« Pour être respecté, il faut être respectable »

Au ministère de la Justice, on calme le jeu. « La très, très grande majorité de nos 80 000 agents se comportent comme tous les Français, c’est-à-dire très bien, s’empresse de préciser à juste titre un proche du garde des Sceaux. Vous avez potentiellement des déviances d’individus qui, dans le cadre personnel ou professionnel, ont des comportements qu’ils ne sont pas censés avoir. » Autrement dit, on ne peut pas être derrière chaque agent, mais « on ne peut pas dire non plus qu’il y ait à ce stade déviance d’un corps ».

Dans les couloirs de la place Beauvau, on comprend qu’il ne suffira pas de rappeler les chiffres des démantèlements de « rassemblements festifs », des contrôles du couvre-feu et des amendes dresséespour éteindre la polémique. Alors, début février, le ministre de l’Intérieur tape du poing sur la table et rappelle à ses près de 300 000 agents qu’ils ont « un devoir d’exemplarité ». Parce que, répète Gérald Darmanin, « pour être respecté, il faut être respectable ».

De part et d’autre, les sanctions ne traînent pas. La petite sauterie dans un restaurant de l’île de la Cité va coûter cher aux deux fonctionnaires de la Cour nationale du droit d’asile. La présidente de cette cour, qui a reçu les deux fautifs, leur a demandé de démissionner sur le champ : le premier, un magistrat, exerçait les fonctions de président vacataire ; le second, enseignant à l’université, celles d’assesseur auprès de la même juridiction. Le commissaire de police de Carpentras, lui, a dû faire fissa ses cartons : bye bye les cigales et le soleil, le voilà muté à Sarcelles (Val-d’Oise), selon nos informations, ce qui « est une vraie punition », assure un proche du dossier.

Son compagnon de tablée, le vice-procureur, n’aura pas besoin de déménager. Après enquête, le tribunal de Nîmes, qui a récupéré l’affaire, a classé le dossier sans suite. Les vérifications montrent que le magistrat, qui est membre du Conseil supérieur de la magistrature et délégué de l’Union syndicale des magistrats (USM), « n’a aucunement déjeuné dans ce même établissement où il était venu récupérer une commande de vin ». « Il y est resté une vingtaine de minutes et s’est vu proposer de goûter ce vin par l’exploitant, ce qu’il a accepté (…) La procédure ne répond pas aux exigences du Code de procédure pénale », explique Eric Maurel, le procureur de Nîmes.Pas de sanction, pas d’amende, donc.

Quant aux policiers d’Aubervilliers qui se sont déhanchés sur la Macarena, eux aussi sont toujours en poste, dans l’attente des conclusions de l’enquête administrative ouverte par la préfecture de police de Paris et des probables sanctions. « L’enquête est toujours en cours », nous dit-on, en rappelant avoir procédé à « 256 fermetures administratives temporaires depuis le début de l’année », parmi lesquelles « 95 restaurants ».

CAMELIA JORDANA , la serpillère utile du service public de notre télé qui ne sera bientôt plus française.

Camélia Jordana Aliouane, dite Camélia Jordana, française par le droit du sol et non pas par une immigration choisie, est semble-t-il une chanteuse et actrice française, née le 15 septembre 1992 à Toulon.

Le marketing des origines: Quel est le point commun entre la chanteuse Camélia Jordana et le site Myheritage.com ? Le marketing des origines. Quand un petit test ADN et un faciès typique valent toutes les compétences et toutes publicités du monde…

Cette arabe, dans la même lignée que les rappeurs, va-t-elle encore insulter longtemps les 2 000 ans d’histoire et de traditions de notre beau pays avec la complicité d’une majorité d’animateurs LGBTF ( Lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres féministes ) de la télévision publique et privée?

PERSONNE NE VOUS OBLIGE A REGARDER CES CHAINES QUI FONT LA PROMOTION DE CES GENS LA. PAR CONTRE CELA ME GENE QU’ILS SOIENT PAYES OU SUBVENTIONNES AVEC MES IMPÔTS!

On se l’arrache !!!!!!!!! Nagui et la 2 avec Taratata, la 2 encore avec le Grand Echiquier, la 5 avec C’est à vous….Le Service public se dispute le droit de montrer en direct la plus raciste anti-blanc avérée ,la plus anti-homme blanc clairement déclarée, la plus nauséabonde des « artistes  » accusant la police française de massacrer des hommes parce qu’ils sont noirs ou ont les cheveux frisés !!!! Qu’elle soit petite fille revendiquée d’un grand chef jadis FLN probablement égorgeur de femmes et d’enfants , passe encore mais que la télé se la dispute , quelle honte ..On aurait pu dire , qu’importe son histoire , retenons son talent ….Mais son massacre hallucinant d’une adaptation de notre grande Piaf à Taratata ou hier encore avec sa reprise désastreuse de Calogéro , sous le regard attristé et gêné de l’artiste cela fait beaucoup..Visiblement le Service Public de la télé recherche le buzz , c’est réussi , pour ma part, j’ai zappé !!!!!!!!

Camelia Jordana,, pathétique produit marketing et bourgeoise déconnectée ….Bien triste pour le Service public, d’aller chercher son audimat dans médiocrité, pour être poli.

Le séparatisme est en marche.