Archive | Mai 2020

Interview du président de la Ligue arabe : (Pourquoi les migrants ne -vont-ils pas dans les pays arabes riches ?)

Article publié le 29.08.2018

 Il y a peu, à une émission de la télévision chinoise. Ahmed Aboul Gheit, président de la Ligue arabe, était interviewé sur la chaîne Tian Wei. La journaliste a demandé à M. Gheit :

 TW: Pourquoi ces migrants ne vont-ils pas chez vous ?

AAG: Parce que nous ne sommes pas une destination pour les migrants. Mais nous sommes ouverts.

TW: Alors expliquez-nous, je vous prie, pourquoi ils ne veulent pas aller dans vos pays, tous ces migrants et réfugiés ?

 AAG: C’est très simple : nous ne faisons pas d’exceptions avec eux. Lorsqu’ils franchissent nos frontières et demandent l’asile, la prochaine étape est qu’ils signent un document qui les oblige à respecter tous les droits et règles de nos pays, et qui précise qu’en cas de violation de cet accord, ils seront condamnés, avec une procédure accélérée, aux mêmes peines que la population locale (ce qui peut aller dans les cas graves jusqu’à la peine capitale) et seront renvoyés dans leur pays de provenance aussitôt leur peine terminée. Nous leur faisons signer également un accord stipulant que l’aide financière qu’ils touchent pour leur intégration dans nos pays doit être intégralement remboursée dans les deux ans, faute de quoi nous saisirons tous leurs biens et ils seront expulsés définitivement de nos pays… Si quelqu’un ne sait pas lire et écrire, il apposera au document son empreinte digitale. Il n’y a aucune excuse du genre : « je ne connaissais pas la culture locale », ce qui serait d’ailleurs peu crédible dans le cas des personnes arabes, et ce genre d’excuse n’est pas pris en compte.

Ces arguments que je viens de citer sont arrivés aux oreilles de chaque migrant, c’est pourquoi ils ne veulent pas demander d’asile dans les pays arabes.

 TW: Ne trouvez-vous pas radicale cette façon de procéder avec eux, M. Gheit ? L’Europe occidentale est bien plus souple avec eux !

AAG: Absolument pas ! Parce que si je devais chercher refuge et demander de l’aide un jour dans un autre pays, je trouverais un devoir absolu d’obéir à la lettre aux lois de ce pays, et que sinon je sois expulsable par n’importe quel moyen. L’Europe de l’Ouest finira par se réveiller et regarder la situation telle qu’elle est. Il faudrait que les dirigeants de l’Europe de l’Ouest soient envoyés à Doha au Qatar ou encore en Arabie saoudite pour demander l’asile dans ces pays pour qu’ils expérimentent « sur leur propre peau » ce que je viens de dire. Là, ils se réveilleraient !

Cela fait réfléchir, non?

 Sous entendus de cette interwiew  » Vous êtes une Europe d’imbéciles, dirigée par des IMBÉCILES et vous méritez ce qui arrive et arrivera !

     

Crise du coronavirus : la CGT continue de vouloir mettre la France à terre

La fédération CGT des services publics a reconduit son appel à la grève, le jeudi 23 avril 2020. Que ce soit dans le public ou le privé, la CGT n’a de cesse de vouloir stopper l’activité du pays depuis le début de la crise du coronavirus.

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La CGT des service publics demande le droit à l’accumulation de RTT pendant le chômage partiel, les heures supplémentaires prépayées en attendant la sortie du confinement, et une prime à tous les fonctionnaires qui télétravaillent. Aux frais de la princesse, bien entendu.

C’est irréaliste – les caisses de l’État sont vides (malgré le taux de prélèvements obligatoires le plus fort des pays développés) ; pour rappel, les fonctionnaires et hauts fonctionnaires ont déjà la garantie de toucher l’intégralité de leur traitement – qu’ils travaillent ou non – , chose inenvisageable quand on est un salarié du privé.

Plus de dix millions de Français sont désormais au chômage partiel. Le pays doit s’organiser afin de relancer la machine économique. La crise sanitaire est là. La crise économique qui vient sera au moins aussi terrible sur les plans humain et sanitaire. Tout doit être fait pour en réduire les effets.

L’économie marchande s’est contractée de 49% durant le confinement, selon l’Insee. Il est vital à tous points de vue que la France se remette au travail le plus vite possible.

Mais la CGT (avec sa cohorte de dizaines de milliers de permanents syndicaux) n’en a cure. 

Dans sa logique de la guerre de tous contre tous, le syndicat de Philippe Martinez ne cesse de réclamer « la fermeture des activités ne contribuant pas aux besoins vitaux ».

CGT : Philippe Martinez pris les doigts dans la confiture

Philippe Martinez cgt@wikimedia.org

Mais qui est donc Philippe Martinez pour se permettre de dicter aux Français la nature de leurs intérêts vitaux? (La CGT ne contribuant en rien à la vitalité de notre pays, bien au contraire, elle pourrait en toute logique se prendre au mot et envisager sa propre fermeture, non ?).

Dans une interview à L’Obs (24.03.2020) le « Lider Minimo » du syndicalisme français va jusqu’à envisager l’interdiction de la fabrication de confiture (si, si c’est vrai…)

La CGT a demandé à ce que le travail ne reprenne pas chez Michelin, Toyota, Airbus, Renault Trucks ou Jacquet Brossard. 

Le retour au travail pour 3 000 salariés de Toyota, sur la base du volontariat pour commencer, et avec la promesse de « strictes mesures sanitaires », est « un scandale », pour le syndicat.

Où est le problème quand toutes les mesures sanitaires adhoc sont prises ?

Depuis le début de la crise du coranavirus, la CGT a également contribué, par exemple :

  • Au dépôt de bilan de Presstalis (ex-NMPP), principal distributeur de la presse en France, piloté en sous-main par l’inénarrable CGT du Livre (on vous racontera son histoire dans un autre article). Presstalis est renfloué depuis des années grâce à l’argent du contribuable.
  • A la non-ouverture des librairies. Le Syndicat des Libraires d’Île de France – CGT s’y est opposé. La perspective de rouvrir les librairies, alors que l’on demandait le confinement à chacun, était « inenvisageable » pour l’organisation syndicale. Et la CGT « de déplorer l’inconscience des patrons qui s’en seraient réjouis », relate le site actualitte.com. En quoi la promiscuité dans une librairie serait-elle un facteur plus aggravant que dans un supermarché ? A croire que les nourritures spirituelles nécessaires à tout un chacun, ça ne leur parle pas à nos camarades matérialistes…
  • Une mention pour leurs confrères du syndicat Sud-Solidaires qui ont, quant à eux, obtenu via un référé de limiter l’activité d’Amazon en France. Autant de perdu pour les salariés français, tout bénéf’ pour les employés dans les entrepôts d’Amazon en Pologne ou en Allemagne.

Métallurgie : un échec pour la CGT

La CGT a néanmoins échoué dans sa tentative de fermer les entreprises de la métallurgie non-essentielles au pays. Le Conseil d’État ayant rejeté le 18 avril la requête en référé de la CGT Métallurgie.

Suite à cette décision, la CGT Métallurgie s’est insurgée contre le fait que le gouvernement « laisse aux employeurs le soin de garantir la sécurité de ses salariés, sans exigence ni contrôle spécifiques ».

Des propos de la pire eau communiste : Nouvelle vague de dictature du prolétariat

  • Pour la CGT, il ne doit y avoir l’État et rien que l’État.
  • Cette idéologie porte un nom : le totalitarisme.

Depuis sa naissance en 1895, la Confédération générale du Travail a toujours été un syndicat primaire préférant l’affrontement au dialogue, le sabordage au compromis.

(«La CGT, c’est le Cancer Général du Travail ; encore que Krasucki dit que c’est faux, parce que le cancer évolue, et pas la CGT !», racontait Coluche).

Stop au financement public de la CGT

Son horloge interne s’est arrêtée à la fin du XIXe siècle lorsqu’il était question de pendre le dernier patron avec les boyaux du dernier contremaître.

Ce sont pourtant les patrons, les salariés du privé (via la taxe syndicale obligatoire prélevée depuis le 1er janvier 2015 sur les entreprises), les contribuables, qui créent les richesses qui permettent à la centrale de Montreuil de se nourrir sur la bête. 

Les financements des syndicats sont opaques et d’une extrême complexité. Il y difficile de s’y retrouver. Néanmoins, quelques rares travaux permettent de se faire une idée :

  • Les cotisations des syndiqués ne représentent que « 3 à 4 % » du financement des syndicats français contre plus de 80 % pour les syndicats étrangers.
  • 90 % des ressources des syndicats proviennent des employeurs public /privé.
  • Le montant des aides pour les syndicats de la fonction publique était évalué en 2010 à 1,34 milliard d’euros annuels, soit 250 euros par an et par agent.
  • Part des subventions dans les ressources des centrales syndicales en 2014 : 54 % pour la CGT

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C’est pourquoi en un mot comme en cent, si vous souhaitez le redressement de la France :

 Dites non avec Contribuables Associés au financement public des syndicats, signez notre pétition !