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Merci Monsieur D’Ormesson,

 

Un vrai régal ….

DORMESSON COLLEGE ATT11113

Dire tout le mal que l’on pense de quelqu’un  en faisant autant de compliments ! Il faut s’appeler Jean d’Ormesson pour avoir ce talent.

Malheureusement ce n’est pas à des gens comme lui qu’on propose le poste de ministre de « l’Instruction publique »

Quel esprit ! En si peu de lignes, si bien cerner le personnage.

J’ai honte !

L’Éducation Nationale n’est plus ce qu’elle était ma bonne dame…  » C’est bien vrai ça !!!!  » Les profs ne sont plus crédibles !

Mon fils a raté son examen de BIOLOGIE…
La question était :
 » Qu’est-ce qu’on trouve dans une cellule ? « 
Il a répondu :

 » des maghrébins, des turcs, des manouches, des Roms, le fils de Taubira, le fils de Trierweiler, le fils de Touraine, le fils Fabius, les frères de Dati, etc, etc…. « 

Il parait que ce n’était pas la bonne réponse ?????

Enseignement: le nivellement par la base continue! Pauvre pauvre…

Chère amie, cher ami,

Si vous avez autour de vous des enfants qui ont le malheur d’être à la fois studieux et peu fortunés, prenez garde : Najat Vallaud-Belkacem veut leur faire les poches.

sans-titre

Elle vient en effet de faire passer, en catimini, une mesure aussi mesquine que choquante : la division par deux du montant des bourses au mérite.

Oui, vous avez bien lu : ces bourses au mérite, attribuées chaque année aux élèves issus des milieux les plus modestes qui réussissent à obtenir la mention très bien au baccalauréat, elle veut les amputer de la moitié de leur montant !

Vous vous souvenez certainement que l’année dernière, à son arrivée au ministère de l’Education nationale, elle avait déjà tenté de supprimer ces bourses au mérite, au nom de son égalitarisme idéologique qui précipite chaque jour un peu plus notre école vers l’abîme.

Pour elle, le travail, l’effort, ne doivent pas être récompensés. Ce qu’elle défend, réforme après réforme, décret après décret, c’est l’uniforme médiocrité, et l’universel assistanat. C’est pour cela qu’elle a supprimé les internats d’excellence, qu’elle a interdit les redoublements, et qu’elle souhaite mettre fin à la notation chiffrée.

A l’époque, nous nous étions mobilisés avec d’autres associations, et finalement, le Conseil d’Etat avait tranché en notre faveur, jugeant que la suppression des bourses au mérite n’était pas légale. Sur les plateaux de télévision, la ministre avait eu du mal à dissimuler sa rage !

Mais Najat Vallaud-Belkacem est au-dessus du Conseil d’Etat : ce qu’elle n’a pu tout simplement éradiquer, elle tente de le réduire à l’insignifiance, et ainsi, par un arrêté ministériel, elle vient de disposer que les bourses au mérite seront réduites de 1800 à 900 euros par an.

1800 euros par an, pour un étudiant méritant disposant de peu de ressources, ce n’était pourtant pas scandaleux !

Avec ce coup de rabot, la ministre espère économiser au mieux 630 000 euros, soit… 0.00007% de son budget, ou encore, 2.4% de la subvention qu’elle verse aux agitateurs de la Ligue de l’enseignement.

Voyez-vous donc une quelconque rationalité économique ou budgétaire là-dedans ?

On est bien dans la pure idéologie.

Il s’agit de couper les têtes qui dépassent, de casser ce qui marche moins mal, de niveler encore un peu plus par le bas. Et comme on ne peut pas s’en prendre aux riches, qui auront toujours les moyens de se payer des formations privées, eh bien, on s’en prend aux pauvres !

Chère amie, cher ami, je vous le dis en toute franchise : aujourd’hui, je suis révoltée.

L’amputation des bourses au mérite est une iniquité, c’est un attentat contre les valeurs de travail et d’excellence, et qui plus est dirigé contre les enfants les plus modestes : je pense que nous ne devons pas laisser passer cela.

Aussi, je vous propose de signer de toute urgence cette grande pétition que nous lançons et que nous allons diffuser auprès des 60 000 membres de SOS Education et bien au-delà.

Najat Vallaud-Belkacem doit comprendre qu’elle a franchi la ligne jaune, et que nous ne la laisserons pas réduire à néant les efforts des élèves modestes.

Si elle voit arriver des dizaines de milliers de signatures, si les médias s’emparent de notre pétition, elle sera contrainte de suspendre sa décision. Mais pour cela, il faut que nous soyons très, très nombreux. Pas un d’entre nous ne doit manquer à l’appel.

Alors, je vous en prie, signez dès à présent cette pétition lui demandant de ne pas toucher aux bourses au mérite, et faites-la suivre à toutes les personnes que vous pensez pouvoir mobiliser.

Nous avions remporté la première manche, il faut cette fois que notre mobilisation soit décisive.

Accédez ici à la pétition pour la signer.

Au nom de tous les élèves modestes et méritants, je vous remercie

Claire Polin
Présidente de SOS Éducation

PS. : N’oubliez pas de faire suivre ce mail à votre carnet d’adresses ! Par ailleurs, si vous utilisez les réseaux sociaux, vous pouvez partager ce lien vers notre pétition : petitions.soseducation.org/bourses-au-merite Encore merci !

L’enfer des enseignants dans les quartiers difficiles

Et le Ministre de l’éducation pendant tout ce temps qu’est-ce qu’il fait ????

Qui sauvera Lise, enseignante en Seine-Saint-Denis ?

Publié le 27 janvier 2014 par Maurice Vidal – Article du nº 340

Lise enseigne toujours en Seine-Saint-Denis. Je dis « toujours » parce qu’elle s’étonne elle-même que chaque jour ne soit pas le dernier. Cela ne signifie pas qu’elle veuille renoncer, comme par caprice, à une profession conquise de haute lutte : cela signifie qu’il lui paraît miraculeux d’être encore enseignante – et parfois même en vie ! – dans un établissement scolaire où les menaces physiques proférées par les élèves sont fréquentes, et les insultes quotidiennes. Elle a déjà vu plusieurs collègues fondre en larmes dans la salle des professeurs, une d’entre elles ayant même avoué avoir pleuré devant ses élèves.

« Elèves » ou « tortionnaires » ? Qu’est-ce qu’un « tortionnaire » sinon quelqu’un d’« inique » et de « violent », qui prend plaisir à « tourmenter » (1) ? Par suite, qu’est-ce qu’une Education nationale qui accepte, en toute connaissance de cause, ces fameux « tortionnaires » ? Certes, il lui arrive de prononcer une exclusion temporaire (2) lorsque les rapports disciplinaires s’accumulent, voire d’opter pour l’exclusion définitive quand tout déborde. Mais que signifie l’exclusion définitive sinon que l’exclu va retrouver les bancs de l’école dans un autre établissement, sans changer pour autant de conduite ?

Qu’un enseignant, excédé par le énième rappel à l’ordre concernant le manque de travail ou l’indiscipline d’un de ses élèves, commette à l’encontre de ce dernier le moindre écart de langage, et la sanction tombe sans tarder ! Pire : que l’élève se comporte en tortionnaire, et la sanction risque de retomber sur l’enseignant… pour incompétence ! C’est d’ailleurs parce qu’il en est ainsi que l’élève se comporte en tortionnaire. Mais chut ! Cela ne doit pas se savoir !

En attendant, Lise vit ce que vivent quotidiennement les enseignants des « banlieues difficiles » (3). Qu’on en juge !

Youssef vient d’être admis dans la classe de Lise (4). A peine installé, il se signale par une agitation permanente, remue sur sa chaise, se retourne, se lève, se rassoit, gesticule, rit sans raison apparente, bref perturbe la classe. Lise, qui vient de commencer la leçon, s’interrompt et lui demande de prendre le cours. Mais Youssef n’a pas ses affaires. Lise lui procure donc une feuille et un stylo. Mais Youssef ne prend toujours pas le cours : « Madame, ça va trop vite ! ». Lise reprend l’explication, et, pour faciliter les choses, décide d’écrire le cours au tableau. Quand elle se retourne, Youssef n’a toujours pas pris la moindre note : « Madame, je peux pas recopier ce que vous écrivez, je suis trop loin du tableau ». Lise lui trouve une place au premier rang, mais Youssef préfère être au fond ! Lise élève le ton : « Ou tu te mets devant, ou je te mets dehors ! ». Youssef tergiverse, puis obtempère. Lise se sent soulagée : elle va pouvoir continuer le cours.

C’est oublier qu’il n’y a pas que Youssef dans la classe. La preuve : Nabila vient d’entrer dans la salle avec 20 minutes de retard. Le professeur lui demande si elle a un mot de la vie scolaire, ou du moins une excuse : « Ça vous regarde pas ! », déclare Nabila. Lise lui intime donc d’aller en étude, conformément au règlement intérieur du collège. « Pauvre conne ! », lance alors Nabila au visage de l’enseignante. Outrée, Lise décide d’aller voir elle-même l’administration, mais change d’avis quelques secondes plus tard : les escaliers qui conduisent au rez-de-chaussée sont entièrement recouverts d’urine (5) ! Sitôt de retour dans la salle de classe, Lise aperçoit deux élèves en train de jouer au ping-pong. Elle leur confisque donc la balle, ce qui lui vaut la remarque suivante : « Vous allez voir, madame, ce qui va vous arriver si vous nous la rendez pas ! ». Au même moment, un autre élève revêt sa capuche, avec l’intention de ne pas l’enlever. Lise comprend que les élèves cherchent à la faire « craquer », mais ne renonce pas, finit par obtenir que l’élève soit tête nue, rétablit le silence et reprend le cours.

Le cours ? Quel cours ? Comment parler de cours dans de pareilles conditions ? Déjà 35 minutes de passées, et toujours rien ou presque en ce qui concerne la leçon du jour. Mais Lise a du cran : elle revient en arrière, pour que personne ne perde le fil de la démonstration, puis apporte de nouveaux éléments… devant un Youssef hilare, qui s’obstine à ne rien faire. « Youssef, maintenant ça suffit : tu as de quoi écrire, tu es au premier rang, tu vois le tableau, donc tu prends le cours ! ». « Mais madame, je peux pas prendre le cours : je comprends pas ! Ça sert à rien de recopier quelque chose qu’on comprend pas !». Lise respire profondément : « Pour Youssef, et pour les autres, je recommence ». « Là, madame, je vois pas l’utilité ! », rétorque Youssef. Et la classe de s’esclaffer !

Lise est à bout de nerfs : elle décide de ne plus argumenter, et ordonne à Youssef d’aller en permanence, tout au bout du couloir. Youssef refuse ! Nouvel ordre : nouveau refus ! « Mais de quel droit t’opposes-tu à mes ordres ? », demande Lise sur le ton de la colère. « Madame, vous êtes une femme ! Mon père, il m’a toujours dit que c’est pas aux femmes de commander ! ».

Lise affronte alors Youssef à bout portant, le prend par le bras pour lui faire quitter sa place et le diriger vers la salle d’étude. Youssef se débat, puis se lève : « Attention, madame, je suis plus fort que vous ! Mais lâchez-moi, madame, lâchez-moi !». Lise ne répond pas. « C’est vous qui cherchez, madame. Vous allez avoir des histoires, là, madame ! ».

Youssef est sorti. Le triste, c’est qu’il reviendra, et le rapport que Lise a dû rédiger ne changera rien à l’affaire.

En revanche, Lise change : le regard qu’elle porte désormais sur ses élèves et sur l’Education nationale n’a plus l’a priori favorable qui était le sien au mois de septembre 2013. On appelle cela l’expérience : pour Lise, cela s’apparente à l’enfer !

Maurice Vidal

(1) Bas latin tortionnaire, « tourmenter » (Petit Robert).

(2) Cela peut aller d’un jour à une semaine.

(3) En ce domaine, comme en d’autres, la France est en train de devenir une « banlieue difficile » !

(4) Youssef fait partie de ces élèves qui changent d’établissement en cours d’année scolaire, pour indiscipline.

(5) Incroyable mais vrai !

L’imposture… PEILLON… Vous avez dit PEILLON…

Pauvre Peillon

Malgré sa grande intelligence, l’école de la République n’a jamais pu lui faire obtenir l’agrégation!!!

PEILLON

 

 

 

L’imposture…

PEILLON… Vous avez dit PEILLON…

Chers tous,

Je suis étonné de voir absents du débat les éléments de carrière de notre bon ministre, qui sont pourtant bien instructifs à son égard.

(NB : j’ai sans doute manqué le début des débats).

C’est curieux, mais il me semble aussi que la presse n’a pas toujours été aussi indulgente à l’égard de nos hommes politiques..1) Peillon n’est pas agrégé. C’est un agrégé interne (ce titre n’a pas d’existence officielle), c’est-à-dire qu’il a été nommé directement, sans concours, agrégé, compte tenu … de ses autres diplômes et…. de quoi au juste ? Chaque année de nombreux échelons sont ainsi franchis par « attribution » lors de commissions paritaires ou « sur demande d’un Inspecteur » ou après entretien oral ou passage devant une classe seulement . Il a donc le titre, l’échelon administratif, et… la rémunération correspondante et tous les avantages liés à cet échelon ..

2) Il a été nommé directeur de recherche au CNRS en 2002… sans en avoir la moindre qualification. DUR, c’est dur, très dur, surtout en philo… ; il y faut une habilitation à diriger les recherches, où est-elle ? Une vague thèse sur Jules Ferry n’y suffit évidemment pas. Quels travaux a-t-il produit ? On cherche vainement !

> 3) Député européen, il a figuré parmi les plus absentéistes de tous.

Le tout pour 10500 euros nets par mois, et sans impôts. Et il parle de nantis…

Amitiés,

Alain Pommellet

– Professeur Agrégé de Mathématiques –

– Classes préparatoires aux Grandes Ecoles – Auteur de nombreux ouvrages –

– Chercheur en Mathématiqes –

Genre … « indéterminé !!! »

Chers amis,

Depuis la rentrée des classes, l’Observatoire de la Théorie du genre a déjà reçu plus d’une centaine de signalements évoquant, sous une forme ou sous une autre, un projet lié à l’enseignement de la théorie du genre dans les établissements scolaires.

Un rapide bilan permet de distinguer deux premiers vecteurs de diffusion de cette « idéologie » auprès de nos enfants que sont les livres (manuels scolaires ou littératures enfantines) et certains ateliers péri-scolaires proposés dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires.

Mais, le plus grave est à venir. En effet, Michel Teychenne, un des fondateurs de l’association « Homosexualité et socialisme » Sic !vient de remettre un rapport officiel à Vincent Peillon lui demandant d’ouvrir en grand les portes de l’école aux associations LGBT (Lesbienne, Gay, bisexuel, et transsexuel). Sous couvert de lutte contre l’homophobie, ces associations seront ainsi invitées à participer à la formation des enseignants mais également à intervenir directement en classe pour, notamment, « déconstruire les stéréotypes de genre ».

Nous ne pouvons accepter que l’école se transforme en tribune militante pour ces associations radicales. Ensemble, parents et professeurs, nous pouvons refuser ce type d’interventions. Pour cela, l’Observatoire de la théorie du genre sera, bien évidemment, à vos côtés pour vous fournir des conseils mais également une aide juridique et logistique.

Face à l’ampleur de cette offensive et au danger qu’elle fait courir pour l’éducation de nos enfants, nous avons besoin de vous !
Afin de nous aider à faire connaître les dangers de la théorie du genre à tous les parents et grands-parents d’élèves et d’être en capacité de réagir établissement par établissement aux attaques des partisans de cette théorie, nous devons nous structurer sur le terrain.

Pour cela, nous vous invitons, si ce n’est pas déjà fait, à devenir correspondant de l’observatoire de la théorie du genre dans votre ville. En une semaine, nous avons déjà plus de 500 correspondants inscrits dans des établissements différents. Merci à eux.

Les correspondants de l’observatoire recevront des documents de formation sur la théorie du genre et ses dangers et ils nous permettront de faire remonter des établissements toutes les informations utiles (choix de manuels scolaires, intervention d’associations militantes, etc.).

Par ailleurs, si vous le pouvez, merci de nous adresser un don, même modeste, pour nous aider à financer nos actions et le développement de l’observatoire. Nous ne disposons d’aucune aide, si ce n’est la vôtre.

Vous pouvez nous envoyer vos dons via paypal, ou également par chèque à l’ordre de l’UNI à l’adresse suivante :

UNI – 34 rue Emile Landrin

92100 Boulogne-Billancourt

Vous recevrez un reçu fiscal vous permettant de déduire 66 % du montant de votre don de vos impôts.

Merci encore pour votre aide et votre mobilisation

Olivier Vial
Porte-parole de l’Observatoire

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Attention ! Peillon ouvre l’école aux associations LGBT

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L’Allemagne consacre le « genre indéterminé »

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Genre à l’école : la Californie dit oui

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Pétition contre la mise en place de cours d’éducation sexuelle aux enfants de 6 ans par des associations LGBT

 

Pour refuser la mise en place de cours d’éducation sexuelle aux enfants de 6 ans, et contre le choix d’associations LGBT pour assurer ces cours, signez la pétition !

Signez la pétition

 

Prochaines conférences de l’Observatoire

19 septembre à Olonne-sur-Mer (85) – S’inscrire

26 septembre à Bordeaux (33) –s’inscrire

10 octobre à Boulogne-Billancourt (92) – s’inscrire

Retrouvez nos actions dans la presse.

Consulter nos passages presse.

Vous recevez cet email de la part de l’un de ces collectifs « Exigeons un referendum », le « collectif non au mariage et à l’adoption homo », vous pouvez vous désabonner en cliquant sur ce lien.

 

L’observatoire de la théorie du genre, en association avec l‘UNI

 

Incroyable Éducation Nationale !!!

Incroyable Éducation Nationale !!!

> Tous les journaux (TV radio papier) nous indiquent que 12 125 300 élèves (écoliers, collégiens, lycéens) sont entrés en classe, accueillis par 849 647 professeurs.

Pauvres enfants, ils seront en moyenne 30 par classe !
>
> Fort de mon certificat d’études primaires, j’ai divisé 12 125 300 par 30 et j’obtiens 404 177 professeurs.
>
> Dubitatif, je divise derechef 12.125. 300 élèves par 849 647 professeurs et j’obtiens 14,27 élèves par classe.
>
> Je commence à avoir des doutes sur la valeur de mon certificat d’études primaires, ou alors, que deviennent les 445 470 professeurs manquants ?

S’agit-il de planqués syndicaux, de malades professionnels, d’adeptes des stages de poterie ou de macramé au lieu de faire des cours aux jeunes ?
>
> Et le président « normal » qui veut embaucher 60.000 nouveaux enseignants (pour que les élèves ne soient plus que 13,3 par classe ?) C’est sûr qu’à ce moment là, ces enseignants pourront vraiment s’occuper de nos petits et, enfin, leur apprendre à lire, écrire et compter ! Car il faudra qu’ils sachent compter pour payer tous ces enseignants pendant 70 ans (40 ans de carriere + 30 ans de retraite, au bas mot) !
>
> Quelqu’un pourrait-il apporter une réponse claire, intelligente et sans langue de bois à cette question ?
>
> Je lui en serais bougrement reconnaissant !
>
> Ces données sont contrôlables en cliquant sur le lien suivant: