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Beaucoup meurent, quelques-uns s’enrichissent…

Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine>  >
Cher(e) ami(e) de la Santé,> >
Si vous pensez encore qu’il n’y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.> > Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.> > Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé : Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ;Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants[1].> > Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament.> > Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament.> > « Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.> > Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ? > > Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly. > > Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.> > Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.> > Mais ici, on en a appris de belles !> > Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.> > Or, tenez-vous bien[3] : Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Elysée ;Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.> > Comme cela a été résumé sur twitter : > > « Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l’épouse d’un député LREM (3), la mère de l’adjoint au chef de cabinet de l’Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4]> > Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France !!> > Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.> > C’est honteux.> > Mais ce qui est beaucoup plus grave, c’est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !> > Croyez-le ou non, mais l’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU).> > Elle ne peut donc toujours pas être prescrite largement par les médecins contre la Covid-19.> > Comme je vous le dis depuis des mois, c’est pourtant un remède à l’efficacité extraordinaire contre la Covid-19.> > Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l’infection, et même à l’hôpital. > > Des grands médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur : L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain[5] ;Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine[6] ;Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %[7] ;Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament[8]. > > En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine[9].> > Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats : L’État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;Tout récemment, dans l’Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.> > Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.> > Il y a quelques semaines, à l’Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s’est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.> > La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l’ivermectine… et Olivier Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump !> > Il a fallu que des associations traînent l’Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu’elle daigne accepter d’examiner le dossier de l’ivermectine[10] !> > Et le pire, c’est que je pense déjà connaître la réponse de l’Agence, prévue pour fin mars : malgré l’avalanche de preuves scientifiques en faveur de l’ivermectine, il est à craindre que l’Agence du Médicament lui oppose un refus – comme elle a opposé un refus injustifié pour l’hydroxychloroquine.> > Car les mêmes manipulations sont à l’œuvre : corruption au plus haut niveau et manipulation de la science.> > Lisez-bien ce qui suit : ce qui s’est passé sur l’hydroxychloroquine est en train de se reproduire, sous nos yeux !!!> > Je suis sincèrement sidéré, en plus d’être révolté, car l’ivermectine était une cible beaucoup plus difficile à balayer que l’hydroxychloroquine.> > Je vais vous expliquer pourquoi.Il était pourtant beaucoup plus difficile de nier l’intérêt de l’ivermectine !> > Mais commençons par les points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine : Les deux sont des vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde ;Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées – dans certains pays, ils sont même en vente libre, sans ordonnance ;Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, parce que ce sont des médicaments génériques : aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits avec ces molécules ;Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données par des médecins généralistes dès les premiers symptômes ;Et, contrairement aux vaccins et autres médicaments « innovants » et hors de prix, ces deux médicaments peuvent être facilement fabriqués en masse et distribués à toute la planète très vite, sans retard ni discrimination.> > Bref, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont, sur le papier, des remèdes parfaits pour faire face à une épidémie mondiale comme la Covid-19.> > Mais l’ivermectine présente aussi des qualités assez nettement supérieures à l’hydroxychloroquine : L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquine> > L’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle[11] ! > > Par ailleurs, dans de très rares cas (1/10 000), l’hydroxychloroquine peut provoquer un trouble du rythme cardiaque – on ne connaît pas de problème de ce type pour l’ivermectine !> > Il n’y a donc strictement rien à perdre et tout à gagner (des hospitalisations à éviter et des vies à sauver !) à prescrire massivement l’ivermectine en cas d’infection au coronavirus. L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquine> > Quoi qu’en disent BFM TV ou l’AP-HP, il est clair que l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement. C’est la conclusion qui ressort de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde[12], sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille. > > Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital.> > C’est déjà beaucoup mieux que rien, évidemment, et il était criminel d’interdire ce médicament.> > Mais avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires : En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection ;En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 % !> > C’est la conclusion des méta-analyses qui ont été réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill[13] comme celle du Dr Pierre Kory[14].> > Il y a même eu quelques articles de presse sur cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times[15]
(Un antiparasitaire bon marché pourrait réduire le risque de mort de la Covid-19 jusqu’à 75 %)> > Ou dans le Daily Mail[16] :  

(Un médicament qui traite les poux et la gale pourrait réduire la mortalité du Covid jusqu’à 75 %, selon une étude)> > Et l’ivermectine a un dernier atout dans sa manche :L’ivermectine montre, sans doute possible, une réduction de la charge virale> > Cerise sur le gâteau, contrairement à l’hydroxychloroquine qui agit de façon différente sur la Covid-19, l’ivermectine a un effet direct et évident sur la « charge virale ».> > Or la charge virale est un indicateur d’efficacité que les biologistes aiment bien, car on peut facilement le mesurer : cela permet de savoir si, grâce au médicament, vous avez moins de virus dans votre corps – et si c’est le cas, c’est la preuve qu’il a une action bénéfique !> > Or sur ce sujet, TOUTES LES ÉTUDES montrent un effet majeur et sans équivoque de l’ivermectine.> > J’invite les spécialistes à jeter un œil au tableau ci-dessous : > > Toutes ces études randomisées montrent une réduction de la charge virale, statistiquement significative.> > Il est donc évident pour toute personne de bon sens, qu’il faut prescrire massivement l’ivermectine, sans attendre une seconde.> > Il y a encore quelques semaines, les sceptiques de mauvaise foi disaient se méfier des études menées dans des pays comme l’Égypte, la Turquie, l’Argentine, le Nigeria ou le Bangladesh.> > Mais tout récemment en Israël, pays phare de la médecine moderne, une étude parfaitement menée, par un professeur renommé (le Pr Schwartz), a montré une réduction de la charge virale multipliée par 3 au 6ème jour, un résultat extraordinaire[17] !> > Bref, en apparence, il paraît difficile de nier l’efficacité et l’innocuité de l’ivermectine… et IMPOSSIBLE de faire croire à son inefficacité et à sa dangerosité, comme cela a été fait avec l’hydroxychloroquine.> > Et pourtant, c’est ce qui est en train de se passer.> > Comme en 2020 avec l’hydroxychloroquine, interdite au profit du remdésivir inefficace à 2 000 euros…> > …l’année 2021 commence par l’autorisation du bamlanivimab inefficace à 1 000 euros… et le refus de l’ivermectine !> > C’est fou, mais les méthodes qui ont permis d’écarter l’hydroxychloroquine sont méthodiquement appliquées contre l’ivermectine :Méthode 1 : censurer les études favorables !> > Le complot – j’ose le mot – est évident avec ce qui est arrivé au Dr Kory.> > Le Dr Kory et plusieurs de ses collègues ont rédigé un article de synthèse sur l’ivermectine, concluant bien sûr à sa très forte efficacité contre la Covid-19.> > Ils ont transmis leur article pour publication à un journal médical de premier rang, Frontiers of Pharmacology.> > Leur article a été évalué de façon très stricte, par trois grands experts mondiaux, dont deux membres de l’autorité de santé américaine (FDA).> > Ces évaluateurs ont examiné l’article et donné leur feu vert à sa publication, car sa rigueur scientifique était incontestable.> > En janvier, la revue Frontiers of Pharmacology a donc annoncé la publication prochaine de l’article, et affiché le résumé de cet article sur son site Internet.> > Normalement, à partir du moment où les experts commandités par la revue ont validé l’article, plus rien ne peut s’opposer à sa publication.> > Plus rien… sauf des pressions et du lobbying au plus haut niveau.> > De façon hallucinante, la revue Frontiers of Pharmacology a annoncé il y a quelques jours qu’elle ne publierait pas cet article !> > C’est du jamais vu.> > Le Dr Kory est sous le choc.> > Lui qui refusait depuis le début d’accorder du crédit aux « théories du complot » impliquant Big Pharma, il a été forcé de se rendre à l’évidence !« J’ai essayé jusque-là d’être juste et généreux (NDLR : c’est-à-dire de ne pas voir de « complot » contre l’ivermectine), mais là, c’est clairement de la censure, il n’y a pas d’autre explication possible.Il est indéfendable en science de rejeter un article revu par les pairs et accepté pour publication après trois cycles d’examen par des experts du sujet.C’est inadmissible. Inadmissible. »[18]> > J’aimerais que vous mesuriez l’importance et l’ignominie de ce qui est en train de se passer.> > Un traitement ultra-efficace contre la Covid-19 est en train d’être censuré, à nouveau.> > Il faut bien comprendre les conséquences de la censure de cet article.> > Le processus « normal » est de publier des essais dans des revues médicales de premier plan – et c’est généralement sur ces articles que se basent les autorités pour trancher.> > Donc si les grands journaux médicaux, sous influence de Big Pharma, refusent de publier les articles favorables à un médicament, cela a énormément de poids dans la décision finale des autorités.> > Et c’est exactement ce qui se passe avec l’ivermectine.Méthode 2 : éviter de publier les études favorables !> > Comme l’a expliqué la Dr Tess Lawrie, chercheuse indépendante et sans conflit d’intérêts : « Il y a tout un tas d’étude sur des sites de pré-publication et les chercheurs ont toutes les peines du monde à faire publier leurs études sur l’ivermectine.Ce qui est arrivé avec l’étude du Dr Kory est sans précédent.Il se passe donc quelque chose de très très louche. Des personnes ou des organisations très puissantes empêchent la diffusion des informations sur l’ivermectine. »[19]> > Dans le cas du journal Frontiers of Pharmacology, il leur a fallu censurer en catastrophe un article favorable à l’ivermectine, déjà approuvé pour publication.> > Mais habituellement, la manipulation est plus facile et moins visible : il suffit de ne pas approuver une étude pour publication !> > Comme ça, les auteurs peuvent difficilement crier à la censure : il y a toujours des raisons valables d’accepter ou refuser une étude.> > C’est ce qui s’était passé avec le Pr Raoult. Il a réalisé une étude montrant l’intérêt de son protocole sur près de 7 000 patients et a essayé de la publier dans The Lancet, journal très prestigieux (mais corrompu)…. lequel a non seulement refusé de le publier, mais choisi à la place de publier le fameux article frauduleux concluant faussement à l’inefficacité et même à la dangerosité de l’hydroxychloroquine.> > Dans le cas le Pr Raoult, grâce à sa réputation internationale, il a fini par pouvoir publier ses études dans un autre journal médical.> > Mais dans le cas des études sur l’ivermectine, dont beaucoup ont été réalisées par des pays en développement (Egypte, Iran, Pakistan, etc.), il est très facile aux journaux médicaux de refuser leur publication, sous des prétextes plus ou moins fallacieux.> > Et c’est ainsi que vous avez des idiots utiles, journalistes ou médecins, qui vous disent que l’ivermectine ne marche pas, simplement parce que les essais cliniques favorables n’ont pas tous été publiés dans des revues médicales de premier plan.> > C’est ce qu’a fait « AFP factuel »[20], par exemple, dans un article d’une incroyable mauvaise foi, qui cite la Société française de pharmacologie et de thérapeutique : parmi les arguments évoqués contre l’ivermectine, il est indiqué que les essais cliniques sont « dans la grande majorité des prépublications non validées par leurs pairs »[21].> > Je répète que c’est un argument fallacieux : n’importe quel expert digne de ce nom est capable d’analyser une étude tout seul, sans avoir besoin qu’elle soit publiée dans une revue.> > Et ce n’est pas fini.> > Pour enterrer définitivement l’ivermectine, il faut aussi publier très vite, dans de grands journaux, des études qui lui sont défavorables, au moins en apparence !Méthode 3 : vite publier des études « défavorables » dans des journaux prestigieux> > Rappelez-vous qu’il s’est passé la même chose avec l’hydroxychloroquine.> > Toutes les études en traitement précoce aboutissaient à des résultats favorables à l’hydroxychloroquine.> > Mais faute de patients en nombre suffisant, ces résultats n’étaient pas statistiquement significatifs – ce qui veut dire qu’on ne pouvait pas conclure avec certitude à leur efficacité.> > Mais plutôt que de dire cela – « le signal est positif mais on ne peut pas conclure avec certitude » – les auteurs en conflit d’intérêts concluaient à l’inefficacité du traitement !> > Et ces articles-là étaient immédiatement publiés, dans les revues les plus prestigieuses, et cités comme la preuve que l’hydroxychloroquine ne marchait pas.> > Avec l’ivermectine, cela recommence.> > Il faut dire qu’il est très facile d’obtenir un résultat « négatif » en apparence. > > Il existe une recette simple, déjà éprouvée avec l’hydroxychloroquine : il suffit de tester un remède sur des patients jeunes et en bonne santé.> > Comme tous, ou presque, vont guérir de la Covid-19 sans problème, il est impossible d’avoir un résultat probant.> > Et c’est ce qui vient de se passer avec un essai clinique colombien publié dans le JAMA, journal prestigieux mais corrompu par Big Pharma.> > Les auteurs de l’article eux-mêmes sont en conflit d’intérêts majeurs, avec de l’argent reçu par plusieurs grands laboratoires.> > Dans leur étude, ces chercheurs ont donné de l’ivermectine à des patients positifs à la Covid-19 âgés de 37 ans en moyenne – donc très jeunes, et peu à risque.> > Puis, ils ont regardé l’état des patients au bout de 21 jours et… sans la moindre surprise, ils n’ont pas trouvé de différence majeure entre ceux qui ont reçu le médicament et les autres.> > Forcément, la plupart ont guéri sans problème !> > Et les auteurs concluent faussement à l’inefficacité de l’ivermectine !> > Immédiatement, cette fausse étude a été bien relayée : le New York Times a publié un article sur « l’échec » de l’ivermectine, et sera sans doute suivi par les journaux français… ainsi qu’Olivier Véran pourra lui aussi brandir cette étude, comme il le faisait avec les études contre l’hydroxychloroquine !> > Mais une fois de plus, cette « étude » est une énorme manipulation.> > Sans même parler de ses défauts méthodologiques énormes, cet essai clinique est en réalité favorable à l’ivermectine car les patients sous ivermectine : Ont été moitié moins nombreux à connaître une « détérioration » de leur état, selon 8 indicateurs ;Et ont été moitié moins nombreux à recevoir de l’oxygène (à domicile).> > Comme toujours, ces résultats ne sont pas « significatifs statistiquement », faute de patients en nombre suffisant.> > Mais ils sont positifs et parfaitement cohérents avec les autres études sur l’ivermectine !> > Problème : une fois de plus, on monte en épingle comme « négative » une étude peu concluante statistiquement, mais globalement positive !> > Et tous les corrompus et idiots utiles du système vont pouvoir vous dire en chœur, « vous voyez, il n’y a pas de complot, l’ivermectine ne marche pas ! ».> > Alors qu’il ne fait aucun doute que l’ivermectine est très efficace contre la Covid-19 !> > Plus de 20 études randomisées le prouvent !> > Des médecins du monde entier observent de leurs yeux son efficacité, avec des patients qui s’améliorent en quelques heures, après la prise du traitement !> > La mortalité a chuté dans les États et les régions qui ont massivement utilisé ce médicament.> > Cette omerta, cette censure et ce sabotage, c’est CRIMINEL, HONTEUX, INSUPPORTABLE !!!!> > Transmettez cette lettre autour de vous. > > On ne peut pas accepter, une nouvelle fois, la censure d’un traitement qui marche.> > Bonne santé,> > Xavier Bazin> > PS : DERNIÈRE MINUTE – les médecins courageux commencent à se multiplier, c’est heureux ! > > Tout récemment, le Pr Pierre-Jean Guillausseau, ancien chef de service à l’hôpital Lariboisière et professeur émérite à l’université Paris 7, a examiné les études en présence et conclu[22] : « Je termine une revue sur Ivermectine et COVID-19 à paraître dans Horizons&Thérapies.Les résultats des trois méta-analyses sont tous concordants et mon analyse critique de 3 essais randomisés et contrôlés de prévention et de 20 essais randomisés et contrôlés de traitement permet de conclure sans discussion à une diminution de 92% du risque de transmission en prophylaxie par l’ivermectine et à une diminution de la mortalité de 75%, ainsi qu’à une diminution significative de la durée d’hospitalisation et du délai de guérison grâce au traitement par l’ivermectine de patients atteints d’une COVID-19… et pourtant ce traitement n’est ni recommandé ni même autorisé (quoi que nous ayons le droit de prescrire hors AMM sous certaines conditions).Il faut savoir que l’Ivermectine n’a pas d’effets secondaires.Message à nos politiques et à nos autorités de santé: de grâce, d’urgence donnez ou faites donner une RTU (Recommandation Temporaire d’Utilisation) à l’Ivermectine ! »> > Espérons qu’il sera écouté ! > > Transférez ce message autour de vous, et sur les réseaux sociaux ! Vous avez un commentaire ? Réagissez !Pour 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              J. Simard

Pot de départ clandestin, restaurant en cachette… Quand certains serviteurs de l’État ne font qu’une bouchée des règles sanitaires…

Danger : Tous ces gens agissent comme si le coronavirus n’était pas dangereux. Ils mettent en danger la vie d’autrui, au même titre que ceux qui portent leur masque en dessous du nez dans les lieux clos, à moins de 2 mètres des autres.

Bien évidemment, il n’y aura pas de sanctions exemplaires face à ces intouchables.

Enquête Franceinfo

Raphaël Godet – Publié le 17/02/2021 07:01 Mis à jour le 17/02/2021 13:12

En pleine crise sanitaire, une poignée d’agents de l’État ont enfreint les règles qu’ils sont pourtant censés faire appliquer aux citoyens lambda. Au risque de perdre leur poste et de salir au passage l’image de leur institution.

Le petit groupe s’est remis en rang d’oignons, a refait quelques moulinets avec les bras, en attendant que le refrain arrive. Quelques notes plus tard, nous y voilà : « Heeeeey Macarenaaaa ! » Histoire de créer un mini dancefloor, on a poussé les chaises et les tables sur les côtés, apporté quelques boissons et de quoi grignoter. Une collègue qui est mutée ailleurs, ça s’arrose. A ceci près que… la fête a lieu dans le commissariat d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), que les danseurs sont en fait des policiers, que nous sommes le 22 janvier 2021, qu’ils sont une trentaine, sans masque, ni distanciation physique, et qu’il y a normalement couvre-feu pour tout le monde. En pleine pandémie de coronavirus, les images font tache au sein d’une institution où l’on aime l’ordre et la discrétion.

Neuf jours plus tard, le 31 janvier, deux vacataires de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) remettent le couvert. Ils sont tranquillement installés à la terrasse fermée d’un restaurant, situé sur le bien-nommé boulevard du Palais, pile en face de la cour d’appel de Paris, quand des policiers à vélo leur tombent dessus pour les verbaliser. La veille, 700 kilomètres plus au sud, le commissaire central de Carpentras (Vaucluse) est contrôlé par ses propres fonctionnaires, en train de déjeuner dans un restaurant de la ville en compagnie d’un vice-procureur.

C’est ainsi : plusieurs serviteurs de l’Etat, de différents corps, ont récemment été pris la main dans le panier à salade, en train d’enfreindre les règles en vigueur, qu’ils sont pourtant eux-mêmes supposés faire appliquer aux citoyens lambda. Dans les commissariats de France comme dans les palais de justice, on n’en revient pas « de ces histoires ». « Ça la fout mal, franchement, réagit à chaud un policier du 19e arrondissement de Paris. Il y a un côté ‘faites ce que je dis, pas ce que je fais’ qui est terrible. Moi, j’en serais in-ca-pable. »

« Les collègues qui se sont fait toper dans la gueule du loup en train de danser la ‘Macarena’. Pardon mais c’est la honte, vraiment la honte. »Un policier parisien

à franceinfo

Un commissaire en poste dans le nord-est de la capitale manque lui aussi de s’étouffer. « Ils ne sont pas malins… Comment veux-tu être crédible après ? » « Lorsque l’on prête serment et que l’on exerce de telles fonctions, on se doit d’être irréprochable », peste une greffière entre deux portes.

Des policiers contrôlent un bar à Paris, le 3 février 2021. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)
Des policiers contrôlent un bar à Paris, le 3 février 2021. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

« Pour être respecté, il faut être respectable »

Au ministère de la Justice, on calme le jeu. « La très, très grande majorité de nos 80 000 agents se comportent comme tous les Français, c’est-à-dire très bien, s’empresse de préciser à juste titre un proche du garde des Sceaux. Vous avez potentiellement des déviances d’individus qui, dans le cadre personnel ou professionnel, ont des comportements qu’ils ne sont pas censés avoir. » Autrement dit, on ne peut pas être derrière chaque agent, mais « on ne peut pas dire non plus qu’il y ait à ce stade déviance d’un corps ».

Dans les couloirs de la place Beauvau, on comprend qu’il ne suffira pas de rappeler les chiffres des démantèlements de « rassemblements festifs », des contrôles du couvre-feu et des amendes dresséespour éteindre la polémique. Alors, début février, le ministre de l’Intérieur tape du poing sur la table et rappelle à ses près de 300 000 agents qu’ils ont « un devoir d’exemplarité ». Parce que, répète Gérald Darmanin, « pour être respecté, il faut être respectable ».

De part et d’autre, les sanctions ne traînent pas. La petite sauterie dans un restaurant de l’île de la Cité va coûter cher aux deux fonctionnaires de la Cour nationale du droit d’asile. La présidente de cette cour, qui a reçu les deux fautifs, leur a demandé de démissionner sur le champ : le premier, un magistrat, exerçait les fonctions de président vacataire ; le second, enseignant à l’université, celles d’assesseur auprès de la même juridiction. Le commissaire de police de Carpentras, lui, a dû faire fissa ses cartons : bye bye les cigales et le soleil, le voilà muté à Sarcelles (Val-d’Oise), selon nos informations, ce qui « est une vraie punition », assure un proche du dossier.

Son compagnon de tablée, le vice-procureur, n’aura pas besoin de déménager. Après enquête, le tribunal de Nîmes, qui a récupéré l’affaire, a classé le dossier sans suite. Les vérifications montrent que le magistrat, qui est membre du Conseil supérieur de la magistrature et délégué de l’Union syndicale des magistrats (USM), « n’a aucunement déjeuné dans ce même établissement où il était venu récupérer une commande de vin ». « Il y est resté une vingtaine de minutes et s’est vu proposer de goûter ce vin par l’exploitant, ce qu’il a accepté (…) La procédure ne répond pas aux exigences du Code de procédure pénale », explique Eric Maurel, le procureur de Nîmes.Pas de sanction, pas d’amende, donc.

Quant aux policiers d’Aubervilliers qui se sont déhanchés sur la Macarena, eux aussi sont toujours en poste, dans l’attente des conclusions de l’enquête administrative ouverte par la préfecture de police de Paris et des probables sanctions. « L’enquête est toujours en cours », nous dit-on, en rappelant avoir procédé à « 256 fermetures administratives temporaires depuis le début de l’année », parmi lesquelles « 95 restaurants ».

Vous voulez sauver des vies ?

Comme vous le savez, le nouveau variant de la Covid-19, identifié en octobre dernier par des chercheurs en Afrique du Sud, est extrêmement contagieux et moins facile à combattre.

Nous ne pouvons pas compter sur notre gouvernement ultra laxiste pour sévir en cas d’infraction au port CONVENABLE DU MASQUE.

Dans sa loi sur le port obligatoire du masque, il n’a même pas défini ce qu’était « le port convenable du masque ».

Le service CheckNews de Libération atteste ainsi que, si les textes de lois n’indiquent pas explicitement la façon dont on doit mettre le masque, le ministère de l’Intérieur confirme, lui, enjoindre les policiers à verbaliser les personnes ne portant pas correctement leur masque. Verbalisations « assez fréquentes, notamment dans les transports en commun ».

A ce jour, aucune verbalisation, bien évidemment alors que vous avez pu constater autour de vous que plus de 40 % des gens ne portent pas convenablement leur masque, même dans des endroits clos à haut risque.

Aussi, unissons-nous pour ralentir les contaminations et sauver des vies en incitant notre entourage à PORTER CONVENABLEMENT SON MASQUE AU DESSUS DU NEZ.

Je sais que cela va vous valoir des insultes, des menaces, des remarques désobligeantes, mais je reste persuadé que nous ferons tous ensemble œuvre de salubrité publique et que nous sauverons ainsi de nombreuses vies, pacifiquement, calmement, avec pédagogie.

Il faut bien compenser la carence d’un état faible qui aurait pu épargner des milliers de vie s’il avait tout simplement fait appliquer les nombreuses lois qu’il a promulguées mais jamais sérieusement appliquées.

Nous n’avons plus d’exécutif digne de ce nom en France depuis des décennies.

ALORS, PARTAGEZ CE MESSAGE ET FAITES LE SUIVRE !

Port du masque obligatoire: l’OMS ne le juge toujours pas nécessaire en ce 20/07/2020 !!!

Vous comprenez pourquoi les américains ont quitté ce ramassis de charlots.

Quatre mois après avoir été jugé « inutile » par les autorités pour contenir l’épidémie de coronavirus, le port du masque est désormais obligatoire dans les lieux publics clos, et pourra même valoir une amende de 135 euros en cas d’infraction.

AFP, publié le lundi 20 juillet 2020 à 04h12

En plein cœur de l’été, cette mesure répond aux signes d’un léger regain du virus : hausse des recours à SOS médecins, des passages aux urgences et du nombre de +clusters+ (cas groupés), même si la situation reste sous contrôle.

Le président Emmanuel Macron avait annoncé le 14 juillet que l’obligation de porter un masque entrerait en vigueur le 1er août, mais la date a été rapidement avancée face aux critiques des médecins qui alertent sur ces « signaux faibles » de reprise de l’épidémie de Covid-19 et le relâchement des mesures barrières. 

Le port du masque chirurgical ou « grand public » (en tissus) était déjà obligatoire dans les transports en commun depuis le 11 mai.

Il est désormais imposé à tout le monde dans les « magasins de vente, centres commerciaux, administrations, banques et marchés couverts », a détaillé dimanche la Direction générale de la Santé. 

Ces établissements s’ajoutent à la liste des lieux où le port du masque était déjà prévu pour lutter contre le Covid-19. 

Les salles de réunion et de spectacle, cinémas, restaurants, hôtels, salles de jeux, établissements d’enseignement, centre de vacances, bibliothèques, lieux de culte, établissements sportifs couverts, musées, gares et aéroports étaient en effet déjà concernés « parfois avec des règles spécifiques », rappelle la DGS. 

Nouveauté : « le non-respect de cette mesure pourrait être susceptible, comme c’est le cas dans les autres lieux où le port du masque est obligatoire, notamment les transports, d’une contravention de 4e classe », soit une amende forfaitaire de 135 euros.

– « moindre mal » –

Le port du masque est un « moindre mal » pour éviter un reconfinement, avait prévenu mardi Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Pompidou à Paris. « Il y a un vrai sujet sur le relâchement des gestes barrières, c’est bien montré par toutes les enquêtes d’opinion, il suffit d’aller dans la rue pour voir », a-t-il souligné.

Au niveau national, le taux de reproduction effectif du virus (ou « R effectif », basé sur les tests virologiques positifs) est repassé légèrement au-dessus de 1 depuis la première semaine de juillet, et se situe actuellement à environ 1,20, selon Santé publique France.

Cela signifie que chaque malade du Covid-19 contamine en moyenne 1,2 autre personne, ce qui va dans le sens d’une tendance à l’augmentation de la circulation du virus.

La décision de rendre le masque obligatoire constitue une volte-face du gouvernement français qui, se basant sur les recommandations internationales, notamment de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avait martelé au début de l’épidémie que les masques n’étaient utiles qu’aux soignants et aux malades.

– « denrée rare » –https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01582271/autoplay/no/src/fruzsm/zone/51/sound/no/adsparam/0/ »C’est vraiment une denrée rare, une ressource précieuse pour les soignants, et totalement inutile pour toute personne dans la rue », avait même déclaré le directeur général de la Santé Jérôme Salomon le 18 mars, lendemain du début du confinement.

Mais pour les promoteurs de la première heure de son port généralisé, ce discours, en France comme dans d’autres pays occidentaux, était avant tout destiné à éviter que le grand public ne s’accapare les masques dont manquaient cruellement les professionnels de santé.

Très critiqué pour l’absence d’un stock stratégique suffisant au début de l’épidémie, le gouvernement français veut désormais atteindre l’objectif d’environ 60 millions de masques d’ici fin septembre/début octobre, contre 3,5 millions avant la crise. 

L’OMS, qui souligne toujours l’absence de « preuves scientifiques » pour soutenir un « port généralisé du masque partout », dit désormais qu’un masque grand public peut être « utile » dans les transports, les magasins ou les lieux clos et bondés, en complément des gestes barrière.

Autre facteur qui justifie le revirement des autorités françaises : les « incertitudes » sur la transmission du virus dans l’air.

Ce sujet « a fait l’objet le 6 juillet d’une lettre à l’OMS signée par 239 scientifiques issus de 32 pays, qui ont notamment fait part de leurs observations sur la fréquence des contaminations et des clusters en milieu clos, particulièrement en cas de brassage d’air, et même en l’absence de projection directe », indique la DGS.

Un petit rappel clair et précis qui peut vous sauver la vie en ces temps de coronavirus.

Nicholas Verdier – Pharmacien à Nice vous conseille:

5 avril 2020, 11:11 ·

L’Université Johns Hopkins a envoyé ce résumé pour éviter la contagion,
il me semble très clair :

* Le virus n’est pas un organisme vivant, mais une molécule de protéine (ADN) recouverte d’une couche protectrice de lipides (graisses) qui, lorsqu’elle est absorbée par les cellules des muqueuses oculaires, nasales ou buccales, modifie leur code génétique (mutation) et les convertit en cellules de multiplicateurs et d’agresseurs.

* Le virus est un parasite intracellulaire obligatoire. Cela signifie qu’il doit impérativement « entrer » dans une cellule pour se multiplier. Lorsqu’on parle du virus qui entre dans la cellule, on dit en fait, qu’il « introduit » son génome, son « plan d’existence » dans la cellule….. Sur la base de ce plan, ce sont les fonctions cellulaires qui vont produire de nouveaux virus. Pour un virus qui entre dans la cellule, des milliers en sortent. Voilà le principe de multiplication.

*Parce que le virus n’est pas un organisme vivant mais une molécule de protéine, il n’est pas tué, mais se décompose de lui-même. Le temps de désintégration dépend de la température, de l’humidité et du type de matériau dans lequel il se trouve.

* Le virus est très fragile ; la seule chose qui le protège est une fine couche de graisse extérieure. C’est pourquoi tout savon ou détergent est le meilleur remède, car la mousse CASSE LE GRAS (c’est pourquoi il faut frotter autant : pendant au moins 20 secondes ou plus, et faire beaucoup de mousse). En dissolvant la couche de graisse, la molécule de protéine se disperse et se décompose d’elle-même.

La chaleur dissout la graisse ; utilisez ensuite de l’eau à une température supérieure à 25 degrés pour vous laver les mains, les vêtements et tout le reste. De plus, l’eau chaude produit plus de mousse, ce qui la rend encore plus utile.

* L’alcool ou tout mélange avec de l’alcool à plus de 65% DISSOUT TOUTE GRAISSE, en particulier la couche lipidique externe du virus.

* Tout mélange avec 1 partie d’eau de javel et 5 parties d’eau dissout directement la protéine, la décomposant de l’intérieur.

* L’eau peroxyde aide beaucoup après le savon, l’alcool et le chlore, car le peroxyde dissout la protéine virale, mais il faut l’utiliser pure et elle fait mal à la peau.

PAS DE BACTÉRICIDES. Le virus n’est pas un organisme vivant comme les bactéries ; on ne peut pas tuer ce qui n’est pas vivant avec des antibiotiques, mais désintégrer rapidement sa structure avec tout ce qui a été dit.

* NE JAMAIS secouer les vêtements, draps ou draps usagés ou non utilisés. Bien que collé sur une surface poreuse, il est inerte et se désintègre en 3 heures (tissu et poreux), 4 heures (cuivre, car il est naturellement antiseptique ; et bois, car il élimine toute humidité), 24 heures (carton), 42 heures (métal) et 72 heures (plastique). Mais si vous le secouez ou utilisez un chiffon, les molécules du virus flottent dans l’air pendant 3 heures et peuvent se déposer dans votre nez.

Les molécules virales restent très stables dans le froid extérieur ou artificiel comme les climatiseurs des maisons et des voitures. Ils ont également besoin d’humidité pour rester stables et surtout de l’obscurité. Par conséquent, les environnements déshumidifiés, secs, chauds et lumineux le dégraderont plus rapidement.

* La lumière UV sur tout objet brisera la protéine du virus. Par exemple, pour désinfecter et réutiliser un masque c’est parfait. Attention, il décompose également le collagène (qui est une protéine) de la peau, ce qui finit par provoquer des rides et le cancer de la peau…..(long terme).

* Le virus ne peut PAS passer à travers une peau saine.

* Le vinaigre n’est PAS utile car il ne décompose pas la couche protectrice de la graisse.

PAS D’ALCOOL ni de VODKA. La vodka la plus forte est à 40 % d’alcool et il vous en faut 65 %.

* LA LISTERINE (c’est un bain de bouche américain) fonctionne SI VOUS EN AVEZ BESOIN ! Il s’agit d’un alcool à 65 %.

* Plus l’espace est limité, plus la concentration du virus est importante. Plus ouvert ou ventilé naturellement sera l’espace, moins il sera concentré.

* Cela étant dit, voilà pourquoi vous devez vous laver les mains avant et après avoir touché des muqueuses, de la nourriture, des serrures, des boutons, des interrupteurs, une télécommande, un téléphone portable, des montres, un ordinateur, des bureaux, une télévision, etc. Et quand on utilise les toilettes.

* Il faut aussi s’humidifier les mains, par exemple en les lavant beaucoup, car les molécules peuvent se cacher dans des micro rides ou les coupures. Plus l’hydratant est épais, mieux c’est.

* Gardez même les ONGLES COURTS pour que le virus ne s’y cache pas.

Bon confinement, restez optimistes et confiants!

 

Michel Onfray : « le chef de l’Etat autorise les banlieues à contaminer à tout va qui elle voudra! Le message est on ne peut plus clair »

Les problèmes du non respect du confinement dans les banlieues est abordé place Beauvau dans une visioconférence datée du 18 mars. Le Canard enchaîné nous apprend qu’elle a permis à Laurent Nunez, secrétaire d’Etat à l’Intérieur, de prendre une décision: interdit de « mettre le feu aux banlieues en essayant d’instaurer un strict confinement »!

Idem pour l’accès aux mosquées…

Le président de la République des mots.

Chacun l’aura compris, Emmanuel Macron n’est pas un bon président de la République. Il s’avère juste le président des mots, celui qui parle, parle sans discontinuer, celui qui verbigère, qui étourdit à force de paroles, qui s’enivre de mots et voudrait griser son auditoire, tous ses auditoires, avec cette logorrhée qui n’en finit pas, qui n’en finit plus. Il voulait une parole rare? Elle est pluriquotidienne et dupliquée en éléments de langage partout serinés par ses perroquets de ministres –je ne parle pas de sa porte-parole, un précipité, au sens chimique du terme, de cette logocratie… Il avait promis la rareté de son verbe sous prétexte qu’il ne serait ni Sarkozy ni Hollande. Or, il est le premier sans l’action et le second sans la bonhomie: c’est à la fois un Sarkozy qui ne fait rien d’autre que laisser voguer le bateau maastrichtien et un Hollande méchant qui ne peut s’empêcher de cacher sa nature dès qu’il parle avec un quidam critique dans un bain de foule. Il parle sans cesse et sa parole se montre accablante, démonétisée, dévalorisée. Il n’est pas orateur, mais il croit que son pouvoir hypnotique, celui du serpent qui convoite l’oiseau, fera tomber de la branche tous ceux qui auront entendu sa rhétorique, sa sophistique. Mais il prend sa volubilité pour de l’éloquence, il croit que son amphigouri est une ligne claire, il pense que son bavardage est l’atticisme postmoderne. Il se trompe lourdement; il trompe lourdement.
[…]

michel-onfray-

Au moins, sous la III°, les hommes politiques avaient été formés au latin et à ses périodes en traduisant Cicéron et Tacite. Ils savaient écrire et mémoriser parce qu’à l’école on apprenait et à écrire et à mémoriser: les dictées et l’analyse logique, l’orthographe et la grammaire, les récitations et le par cœur forgeaient des épées et de fines lames. A l’école d’après Mai 68, celle de Macron, nous n’avons plus que des couteaux à beurre sans lames et sans manches. C’est dire l’état de la coutellerie française…
[…]
On ne peut expliquer les entrechats présidentiels qu’avec cette hypothèse que le chef de l’Etat est resté sur scène avec Madame Trogneux comme quand il avait quinze ans et qu’elle en avait trente neuf: le virus n’est rien d’autre qu’une grippette mais il faut confiner tout le monde, il faut rester chez soi mais vous devez aller voter, il faut rester confiné mais vous pouvez aussi faire vos exercices physiques, il ne faut pas fermer les frontières mais il faut les clore, on se fermera pas les écoles mais on les ferme, le virus n’a pas de passeport mais il a celui de Schengen, la maladie ignore les frontières mais on peut l’y contenir tout de même.

Dernière volte-face en date: le masque ne sert à rien mais il faut le porter.
[…]
Cinq jours pour une toile de tente accueillant trente lits! Qu’en aurait pensé Napoléon?
[…]
Pendant ce temps, les problèmes du non respect du confinement dans les banlieues est abordé place Beauvau dans une visioconférence datée du 18 mars. Le Canard enchaîné nous apprend qu’elle a permis à Laurent Nunez, secrétaire d’Etat à l’Intérieur, de prendre une décision: interdit de « mettre le feu aux banlieues en essayant d’instaurer un strict confinement »!

C’est le monde à l’envers. C’est l’action de la police qui mettrait le feu aux banlieues qui refusent de respecter l’ordre public, autrement dit: qui méprisent la loi. Le confinement ne sert à rien s’il n’est pas respecté par tous, c’est le message que l’Etat français diffuse sur tous les supports médiatiques. Mais, en ce qui concerne les territoires perdus de la République, la République elle-même donne l’ordre de laisser faire à ceux qui sont censés la garantir. On ne peut mieux dire que le chef de l’Etat autorise les banlieues à contaminer à tout va qui elle voudra! Le message est on ne peut plus clair. Le jour venu, il faudra s’en souvenir.

Le préfet du Nord aurait quant à lui expliqué que les commerces illégaux (drogue, mais probablement aussi marché noir des masques de protection…) « exercent une forme de médiation sociale ». Encore un disciple d’Edwy Plenel qui va se voir épingler la breloque au veston lors du prochain 14 juillet, et ce des mains même du président de la République des mots!
[…]
En avril 2019, Sibeth Ndiaye avait dit: « J’assume de mentir pour protéger le président de la République ». C’est la dernière fois qu’elle a dit une chose vraie. On ne l’y a pas repris depuis.
[…]

PORTE PAROLE COCCINELLE

Michel Onfray

Comment Emmanuel Macron s’est décidé sur la chloroquine

Chapô

“Depuis qu’il le connait, Emmanuel Macron respecte beaucoup et apprécie le professeur Didier Raoult”. Un parlementaire de la majorité, proche du chef de l’Etat n’a pas de mots suffisamment forts pour décrire la considération qu’Emmanuel Macron porte pour le professeur de médecine à la silhouette de punk.

Selon nos informations, Emmanuel Macron a reçu personnellement le Professeur Didier Raoult il y a un mois à l’Elysée et ils ont pris une photo ensemble. C’est à cette occasion que le médecin marseillais lui aurait parlé en détail de ses travaux sur la chloroquine, solution permettant d’empêcher l’aggravation de l’état d’un malade du coronavirus. Et même mieux, d’en guérir.

Ensuite, à l’occasion des Conseils scientifiques – mis en place pour conseiller le gouvernement après l’arrivée du Coronavirus en France – auxquels il participe, Didier Raoult, peu apprécié de ses collègues pour son impertinence et son goût pour la transgression, n’a cessé d’aller à l’encontre des conseils émis par ses homologues.

Malgré son opposition avec le mari d’Agnès Buzyn – Yves Lévy est président de l’Inserm-, alors ministre de la Santé, Didier Raoult propose tout de même à sa ministre de tutelle de l’aider à conduire la recherche pour trouver une solution pour venir à bout du coronavirus, en employant de la chloroquine. Sans surprise, Agnès Buzyn ne répond pas à sa sollicitation.

Mais ce qu’ignorent Agnès Buzyn et les membres du conseil scientifiques : en dépit des déclarations successives de Raoult contre les décisions gouvernementales dans la gestion du coronavirus, Emmanuel Macron garde un lien presque permanent avec le médecin chevelu.

A l’arrivée d’Olivier Véran le 16 février 2020 au ministère de la Santé, Emmanuel Macron lui demande de lancer les autorisations pour les essais cliniques, à base de chloroquine, à Marseille. Et de suivre le sujet de près. Mais Emmanuel Macron ne s’en rendra compte que plus tard : le changement de ministre n’y fait rien. Les oppositions sont trop fortes notamment celles exercées par les édiles parisiennes opposées au Pr Raoult.

Tout s’accélère le vendredi 20 mars au soir. Alors qu’il s’apprête à faire tweeter ses équipes sur la solidarité nécessaire entre les générations et depuis chez soi, Emmanuel Macron réalise à quel point les querelles de personnes ralentissent la nécessaire recherche scientifique contre le Coronavirus. Il redécouvre l’absence de solidarité des infectiologues et des scientifiques avec leur homologue Raoult, qui refusent d’inclure l’hydroxychloroquine à leurs études sur les patients atteints du COVID19. Le sang du président ne fait alors qu’un tour : il convoque en urgence Olivier Véran et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, qui est aussi biologiste, pour leur ordonner de faire respecter ses demandes.  N’ayant d’autre choix que de s’exécuter, l’hydroxychloroquine sera finalement bien testée, notamment dans les hôpitaux parisiens sur l’ordre express du président de la république.

Les deux ministres préparent alors le décret pour permettre les essais d’hydroxychloroquine, et de ne plus le restreindre qu’aux cas graves, alors que le Pr Raoult et d’autres spécialistes internationaux en Asie s’accordent à dire que c’est au début de la maladie que l’anti-viral est efficace. Ce décret sera publié au journal officiel le 26 mars : « L’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile ». Le soir même, après une nouvelle pression du conseil scientifique imposant une nouvelle marche arrière en faisant pression sur Matignon, le décret est à nouveau révisé par le ministère en faveur d’une autorisation limitée, cadrant l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le respect des indications de son autorisation de mise sur le marché, contre l’avis initial du président de la République.

Coronavirus : ceux qui crachent sur la France devraient se réjouir d’y vivre

Face à la crise sanitaire qui agite le monde, la France offre un modèle de protection sociale sans commune mesure avec les autres puissances occidentales. Pour Nader Allouche, il est temps que les populations d’origine immigrée prennent la juste mesure de cette chance. Coup de gueule.

DOUCE FRANCE

Ce voisin musulman, qui était, hier encore en Algérie, où il a acheté un appartement (alors qu’il vit dans un logement social, en France), a été rapatrié dans notre pays, grâce aux bons et loyaux services du consulat français, en première ligne face à la crise du coronavirus. Son épouse, Algérienne et résidente en France depuis peu, fut également du voyage. Lui est médiateur à la piscine municipale de sa commune, elle est agent de propreté à la mairie. Il sera mis en chômage partiel, elle travaillera, dans des conditions de sécurité renforcées et avec des aménagements substantiels liés à leur vie de famille. La France Etat Providence, c’est aussi pour eux.

Je connais cet ancien voisin depuis que je suis tout petit. Il appartient à une famille de FLNistes algériens, qui n’ont jamais enterré la hache de guerre. D’ailleurs, nombre de ses frères et sœurs nés en France n’ont jamais pris la nationalité française, par défiance envers notre pays, quoiqu’ils prirent toutefois, très volontiers, les prestations sociales, nombreuses, que notre loi généreuse leur offrait.

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Ils n’ont jamais cessé de cracher sur la France, pays d’homosexuels et de mécréants, ennemie de leur patrie, l’Algérie.

D’abord délinquant, l’homme s’est assagi. Il a eu des enfants, avec une convertie « de papier » (elle n’a jamais été convaincue par l’islam). Bien qu’ils vécurent à l’occidentale, un jour, il s’est radicalisé. Et le divorce devint inéluctable. Pour se purifier d’avoir fricoté avec une « garouiya » (la transcription de « gauloise » en arabe d’Afrique du Nord),  il a épousé une algérienne du bled. Cette union l’a encore plus radicalisé, et son épouse et lui furent de ceux qui se réjouirent de l’attaque contre Charlie Hebdo.

Ils n’ont jamais cessé de cracher sur la France, pays d’homosexuels et de mécréants, ennemie de leur patrie, l’Algérie. Hier, ils ont, pourtant, pris la fuite pour la France, et ont abandonné l’Algérie, avec un grand soupir de soulagement. Il faut dire que la tendre mère (al-oum al-azizé, comme disent les Maronites), c’est la France. La France Etat Providence, c’est notre honneur. Mais il en va de notre dignité de la faire respecter.

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Aujourd’hui plus que jamais, c’est le moment pour les Français issus des immigrations belliqueuses, et pour les immigrés, aussi, de prendre conscience de la chance qu’ils ont de vivre en République française, de s’en montrer reconnaissants, et à l’avenir, de faire Nation avec elle, sans velléité de changer notre pays. La République française est la seule grande puissance qui, par la volonté et la lutte sociale acharnée de son peuple, offre à ses habitants (nationaux et étrangers) la protection sociale digne d’une nation vraiment civilisée. Qu’en est-il aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Russie, en Chine, où les peuples sont abandonnés à leur sort, et où le tissu de services publics de l’Etat est si faible et dépouillé, qu’on finit par se demander si l’Etat est bien celui du peuple souverain (sûrement n’est-il que la machine de brigues, pour reprendre le mot de Rousseau : le parti communiste chinois, les ultra-riches américains…).

Notre modèle, unique, demande à être protégé

La France est universelle parce qu’elle est française. Et français signifie d’être des combats de ce peuple social-révolutionnaire et souverainiste. Notre modèle, malheureusement unique, demande à être protégé, pour notre plus grand bien. Protégé contre les libéraux, et protégé contre les communautaristes ingrats. Tout le monde en France sera protégé, mais il est de notre devoir, ensuite, de nous assurer que tous seront reconnaissants, et que cesseront les sécessions d’hier.

Français issus de l’immigration, soyons sincères. Ici, nous sommes confinés dans le confort et la dignité. Là-bas (dans nos pays d’origine), nous crèverions comme des chiens.

Comportement inadmissible des musulmans dans les hôpitaux en Europe

UNE FEMME MÉDECIN ALLEMANDE envoie un GRAVE MESSAGE D’ALERTE… ! …

Mme Merkel a ouvert les frontières allemandes toutes grandes à tous les « migrants »… Il y a maintenant un prix à payer pour nous tous !

 » Hier, à l’hôpital, nous avons eu une réunion pour décider de la manière de gérer une situation devenue insoutenable ici, et dans les autres hôpitaux de Munich ». 

« Les cliniques ne peuvent plus gérer les situations d’urgence, de sorte qu’elles commencent à tout renvoyer vers les hôpitaux. » 

« Beaucoup de migrants musulmans refusent de manière agressive et parfois violente, d’être traités par du personnel féminin. Et nous, les femmes soignantes, nous refusons maintenant de nous occuper de ces gens, venus d’Afrique, parce que nous avons peur. » 

« Les relations entre le personnel, et les migrants vont de mal en pis. Depuis le dernier week-end, les migrants qui arrivent dans nos hôpitaux doivent être accompagnés par la police avec des unités K-9. Beaucoup de migrants ont le SIDA  la SYPHILLIS, la TURBERCULOSE et de nombreuses maladies exotiques SIDA, la, que nous, en Allemagne, ne savons pas comment traiter. » 

« Si on leur donne une prescription à aller chercher à la pharmacie, ils refusent de payer leurs médicaments. Cela conduit à des réactions violentes incroyables, surtout quand il s’agit de médicaments pour les enfants. Certains abandonnent alors leurs enfants au personnel de la pharmacie avec l’injonction : « Alors, soignez-les vous-mêmes.  » Ainsi, la police doit non seulement sécuriser les cliniques et les hôpitaux, mais aussi, désormais, les pharmacies ! » 

« Où sont tous les  » pseudo-humanistes » qui les accueillaient devant les caméras de télévision, avec des grands panneaux de « Bienvenue » dans les gares ? « . Pour le moment, la frontière a été fermée, mais un million d’entre eux sont déjà rentrés ici, et nous ne serons certainement pas en mesure de les intégrer correctement, ou de les renvoyer un jour chez eux. En conséquence, ma remarque n’est pas du tout raciste, mais le nombre des chômeurs va logiquement augmenter, et très vite aussi c’est le nombre de délinquants qui augmentera en Allemagne ». 

  « Jusqu’à présent, le nombre de chômeurs en Allemagne était de 2,2 millions. Donc, ce chiffre va vite passer à au moins 3,5 millions      . La plupart de ces gens que je vois défiler dans nos services, sont malheureusement des hommes complètement inaptes au travail.      Seule une toute petite minorité d’entre eux, ont un minimum d’éducation et de formation. Qui plus est, dans la majorité des cas, si  leurs femmes les accompagnent, elles n’ont pas le droit de s’émanciper, et de travailler .. Et j’estime qu’environ une sur dix arrive enceinte. Des centaines de milliers de migrants ont amenés avec eux des nourrissons, et des enfants de moins de six ans, dont beaucoup sont maltraités, et gravement malades. » 

« Si ça continue, et que l’Allemagne réouvre ses frontières, je retournerai vivre en République Tchèque. Personne ne pourra me forcer à continuer à travailler à Munich dans ces conditions. Et je serai mieux en République Tchèque, même avec un salaire divisé par deux. J’ai voulu venir travailler en Allemagne dans un pays civilisé et évolué, pas dans un pays musulman, en Afrique ou dans les pays arabes.» « Même le professeur qui dirige notre service nous a dit, combien il était triste de voir une femme de ménage allemande, qui nettoie tous les jours depuis des années les couloirs, les chambres et les sanitaires pour [seulement] EUR 800, méprisée et humiliée par les migrants dans l’hôpital. 

Les jeunes hommes migrants qui attendent dans les couloirs, crachent par terre et sur les murs, jettent leurs détritus sur le sol, font leurs besoins dans les recoins et les placards, insultent les employées femmes, et exigent que tout soit gratuit, et quand on veut appliquer le règlement, ils deviennent violents. » 

« Face à ces comportements inadmissibles, je trouve les autorités allemandes trop conciliantes , et je suis certaine que la République Tchèque n’accepterait pas de tels débordements et incivilités. » 

  « Personne n’ayant fait l’expérience d’être en contact avec eux, n’a la moindre idée de leur sauvagerie, et leur irrespect. En particulier les Musulmans venant d’Afrique, ils se comportent avec une arrogance et un mépris incroyables, comme s’ils étaient supérieurs à notre personnel. Et i ls considèrent que leurs lois religieuses sont au-dessus de tous nos règlements. » 

« Pour l’instant, le personnel de l’hôpital a réussi à éviter la démotivation et les contaminations avec toutes les maladies qu’ils ont apporté ici, mais, avec les centaines de patients migrants qui arrivent chaque jour, les choses finiront mal . » 

« Dans un hôpital à proximité du Rhin, les migrants ont attaqué le personnel à coups de chaises, et avec des couteaux. Ils avaient amené un bébé de 8 mois au bord de la mort, qu’ils avaient traîné à travers la moitié de l’Europe, pendant trois mois. Ce bébé, bien qu’ayant reçu les meilleurs soins, a fini par mourir. Le personnel a été frappé par les membres de la famille. Le médecin qui s’était dévoué pour essayer de sauver le bébé, a été gravement blessé, et a dû subir une intervention chirurgicale, et deux infirmières ont dû être placées en soins intensifs. Aucun des agresseurs n’a été arrêté, ni puni.» «  Les autorités ont interdit à la presse locale d’écrire un seul article à ce sujet , donc nous avons été informés de ces événements par des courriels de nos confrères. « Que serait-il arrivé à un Allemand s’il avait poignardé un médecin, et des infirmières dans un Hôpital ? Ou s’il avait répandu sa propre urine infectée par la syphilis sur le visage d’une infirmière ? Au minimum, il serait allé tout droit en prison. Mais, contre ces agresseurs migrants, jusqu’à présent, rien n’a été fait. Pourquoi ?? Et je demande aussi, où sont passés tous ces gens qui les réceptionnent et les accueillent dans les gares ferroviaires ? Assis tranquilles dans leurs maisons ?? profitant de leurs subventions d’associations « à but non lucratif »?     ( !) et impatients de voir arriver d’autres trains [plein d’immigrés] qui leur permettront de jouer à nouveau leur beau rôle d’«accueillants», pour justifier encore leurs parts du gâteau de subventions. 

Je voudrais rassembler tous ces militants politiques « accueillants » et les amener ici au service des urgences de notre hôpital, comme infirmiers et aides-soignants, pour qu’ils découvrent la réalité des choses ! Et il faudrait les affecter au service des immigrés, pour qu’ils puissent s’occuper d’eux complètement, sans l’aide de la police armée, et sans chiens policiers .. 

On verrait alors combien de temps durerait leur bel « engagement soi-disant humaniste » !

Pour ma part, je dis : ça suffit !! L’Allemagne n’a pas les moyens d’accueillir et de soigner généreusement toutes les populations de l’Afrique et le Moyen Orient . 

En France cela ne vaut guère mieux ! La marmite est sur le point d’exploser !

A transmettre le plus possible ! car ce n’ est pas dans nos médias (aux ordres du gouvernement) que vous aurez ces infos…

 

Causes de mortalité en France : Erreurs médicales : Chut !!!!

MORTALITE

Et les erreurs médicales ?

Leur nombre est difficile à évaluer car elles ne sont pas toujours imputables à un médecin mais peuvent relever de la malchance.

Dans son édition du 23 novembre, Le Parisien publiait un dossier sur les erreurs médicales, révélant que les chiffres sont minimisés et qu’une «omerta» entoure ce sujet épineux. En effet, selon le journal, «seuls» 1.153 cas d’événements indésirables graves liés aux soins ont été signalés depuis janvier par des professionnels de santé, alors que 60.000 personnes perdraient la vie chaque année en France des suites d’un accident médical. Mais ce chiffre n’est qu’une vague extrapolation, fruit de la somme de deux estimations: l’une faite par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’autre tirée d’un rapport du Sénat daté de 2013. En l’absence d’étude sur la question, difficile d’établir un état des lieux rationnel.

Il faut dire que le recensement des erreurs médicales n’est pas chose aisée. En effet, lorsqu’un événement indésirable grave survient – c’est-à-dire un événement inattendu ayant provoqué des conséquences graves pour le patient (mise en jeu du pronostic vital ou fonctionnel, décès, séquelles invalidantes…) -, il peut être la conséquence d’une faute du corps médical ou à un aléa. C’est le cas, par exemple, lorsqu’un patient se révèle être allergique à un produit anesthésique.

102 médecins reconnus fautifs

En théorie, les professionnels de santé ont l’obligation de déclarer les événements indésirables qu’ils observent sur le site gouvernemental dédié. Mais en l’absence d’expertise, ces données ne permettent pas d’estimer la part de responsabilité du professionnel de santé, et donc de savoir s’il y a eu ou non une erreur médicale. Il arrive alors que le patient adresse une réclamation au soignant. Pour en savoir plus sur la nature de ces plaintes, Le Figaro a interrogé Thierry Houselstein, médecin et directeur médical à la MACSF, assurance qui couvre environ 60% des professionnels de santé en France, dont plus de 141.000 médecins.

«Lorsqu’un patient a une réclamation vis-à-vis d’un professionnel de santé, ce dernier doit nous en faire part. En 2016, nous avons ainsi reçu 2.300 déclarations d’événements indésirables, explique Thierry Houselstein. Cela ne représente pas plus de 2% de l’ensemble des médecins que nous couvrons. C’est aux patients de choisir le mode de réclamation. Environ un tiers de ces réclamations se règle à l’amiable, un tiers en justice et le dernier tiers passe entre les mains des Commissions de Conciliation et d’indemnisation (CCI).»

Ces commissions sont chargées d’établir si la faute est imputable ou non au professionnel de santé, et donc si c’est à l’assurance ou non de payer. En 2016, 102 médecins assurés par la MACSF ont été reconnus comme fautifs, sur 446 dossiers expertisés par les CCI. «C’est le cas lorsqu’un chirurgien sectionne un nerf récurrent au cours d’une opération de la thyroïde sans avoir indiqué dans le compte-rendu opératoire qu’il avait repéré le nerf récurrent par exemple». En effet, la section d’un nerf récurrent au cours d’une thyroïdectomie est une conséquence malheureusement possible de cette opération et elle n’est pas considérée comme une faute médicale. Par contre, s’il s’avère que le chirurgien n’a pas suivi les bonnes pratiques opératoires, à savoir repérer et isoler ce nerf, il est en faute.

«De même, quand un médecin, après avoir réalisé une coloscopie chez un patient, le laisse rentrer chez lui alors qu’un doute persiste quant à l’éventualité d’une perforation», poursuit Thierry Houselstein. Dans les autres cas, les médecins n’ont pas été mis en cause. «C’est le cas lorsqu’un patient opéré du pied développe une algoneurodystrophie, un enraidissement douloureux et progressif d’une articulation: le chirurgien n’y est pour rien», poursuit l’assureur.

La chirurgie et la médecine générale les plus mises en cause

Selon le médecin de la MACSF, les 6 spécialités les plus concernées par les plaintes sont, dans l’ordre: la chirurgie orthopédique, la chirurgie du rachis, la médecine générale, l’anesthésie-réanimation, l’ophtalmologie et la radiologie. «En chirurgie, il arrive régulièrement que les patients considèrent les résultats comme insuffisants. Les plaintes visent aussi des infections liées aux soins ou bien des complications en rapport avec le geste opératoire», rapporte Thierry Houselstein. «Quant aux plaintes adressées aux médecins généralistes, elles concernent surtout des erreurs et des retards au diagnostic.»

Lorsque le médecin n’est pas jugé coupable mais qu’il y a bien eu une erreur médicale ayant entraîné une incapacité fonctionnelle supérieure à 25%, c’est l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) qui prend le relais. Infections nosocomiales graves, certains accidents médicaux (sauf actes de chirurgie esthétique), dommages imputables à des vaccinations obligatoires, victimes du sang contaminé, du Médiator ou de la Dépakine: au total, 4575 demandes ont été déposées à l’Oniam en 2016. Parmi elles, 35% ont entraîné une indemnisation. À noter qu’une demande peut être faite dès lors que l’erreur médicale a été commise après le 4 septembre 2001. Depuis 2003, le nombre de demandes déposées à l’Oniam a presque triplé.

«Pour connaître précisément le nombre d’erreurs médicales imputables aux professionnels de santé faites chaque année, il faudrait interroger l’ensemble des assurances et les tribunaux, conclut Thierry Houselstein. Sans compter que tous les patients victimes d’erreurs médicales ne se manifestent pas. Mais je pense que les fautes individuelles ne sont qu’une petite proportion des événements indésirables graves.»