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Il est urgent et nécessaire de réformer le syndicalisme français.

Pour briser la culture syndicale contestataire et contre-productive, il est impératif que les travailleurs français réinvestissent le champ syndical dans un système réformé, indépendant et pluraliste.

C’est une actualité dont les Français se seraient bien passés. Alors que notre pays fait face à une grave crise énergétique, doublée d’un risque de récession, un autre choc, résultant d’une volonté délibérée, est venu encore aggraver les difficultés des Français ; pour une fois ce n’est pas l’incompétence du gouvernement qui est en cause. La grève préventive engagée à l’initiative de la CGT révèle, une fois de plus, un pouvoir de nuisance inversement proportionnel à sa représentativité. Une centaine de grévistes ont suffi à limiter l’approvisionnement en carburant de l’ensemble du pays.

En instrumentalisant une controverse sur les « superprofits », la CGT s’est de facto positionnée en tant que profiteuse de guerre, son pouvoir de négociation étant évidemment décuplée par les crises en cours ; nous la savons coutumière du fait… On se souvient des nombreuses grèves au sein de la SNCF, inopinément positionnées avant les départs en vacances ou encore la façon dont la CGT Dockers mine la compétitivité du port du Havre par des opérations « port mort » et dont les motifs sont parfois sans rapport avec leur métier, comme l’exigence en 2020, du retrait de la réforme des retraites.

La radicalité devient alors un moyen d’exister politiquement et médiatiquement pour faire oublier leur déficit de représentativité auprès des salariés.

Ce chantage syndical et ces blocages sont d’autant plus inacceptables que moins d’un salarié du privé sur dix est syndiqué, soit le taux le plus faible des pays riches de l’OCDE. En 70 ans, le nombre de syndiqués a chuté de plus de 70%.

À cela, ajoutons qu’environ les deux tiers des salariés du privé, 12 millions, travaillent dans des déserts syndicaux, tandis que le noyau militant et sociologique du syndicalisme français contemporain est constitué des salariés ayant un statut particulier et travaillant dans des grandes entreprises nationales (SNCF, EDF, GDF, RATP, Aéroports de Paris, Arsenaux…), des agents des fonctions publiques d’État et territoriale ou encore des salariés des sociétés d’économie mixte. En clair, ce sont avant tout les catégories de salariés les plus protégées qui constituent l’essentiel des militants syndicaux.

Tout naturellement, leurs préoccupations et leur vision du monde imprègnent l’ensemble du mouvement syndical. Ainsi, la CGT préfère par exemple défendre la régularisation des sans-papiers plutôt que de lutter contre le chômage et pour le plein emploi. Non contents d’abandonner les chômeurs qui ne sont ni adhérents ni une clientèle rentable, la CGT alimente le dumping social en défendant les sans-papiers dont la venue sur le sol français fait pression à la baisse sur les salaires des salariés. Mais après tout dans leur esprit, il ne s’agit que des salariés du privé…

Cette situation nuit profondément à la qualité du dialogue social de terrain : les négociations s’en trouvent déséquilibrées et les accords passés ont une moindre légitimité. Pas surprenant que, dans ces conditions, près de 6 Français sur 10 considèrent que les syndicats de salariés sont davantage un élément de blocage que de dialogue.

Cette situation interroge d’autant plus que les syndicats disposent en France d’un pouvoir considérable au travers du paritarisme qui leur permet de participer à la gestion des caisses de sécurité sociale, des retraites ou encore des allocations chômage. Est-il normal que la protection sociale, publique ou privée, soit assise sur le paritarisme, qui est de moins en moins représentatif, alors que son poids économique constitue plus du double de celui de l’État qui, lui, repose sur la représentation nationale ?

Cette situation est encore aggravée par le fait que les syndicats de salariés ne sont que très minoritairement financés par les cotisations de leurs adhérents, la plupart de leur fonds provenant des subventions publiques massives et des contributions obligatoires payées par les entreprises ; c’est d’ailleurs bien là qu’est le scandale.

En 2020, ce sont plus de 81,5 millions d’euros qui leur ont ainsi été versés par ce biais. De cette manne financière colossale, la seule CGT a reçu 18,1 millions d’euros. Ce modèle de financement massif des syndicats par le contribuable et les contributions des entreprises est une exception française en Europe. En effet, là où les adhésions représentent près de 80% des ressources des syndicats dans certains pays, en France elles ne pèsent que pour moins d’un tiers  du financement des organisations syndicales comme la CGT ou FO. Et c’est sans compter sur la manne issue de la gestion de la formation professionnelle, dont l’attribution est particulièrement opaque et qui pourrait représenter 10% du budget des grandes centrales syndicales.

Ce déséquilibre et cette opacité budgétaire, mis en lumière par le rapport Perruchot en 2011, en font des rentiers, plutôt que des outils au service de l’intérêt collectif des salariés, à qui ils n’estiment la plupart du temps n’avoir aucun compte à rendre.

L’intérêt des salariés est donc de moins en moins le moteur de l’action syndicale, mais un prétexte, un marche pied, pour défendre un agenda politique et non syndical. On peine en ce sens à comprendre l’hommage rendu par Philippe Martinez, Président de la CGT, à Yasser Arafat ces dernières semaines. Quel est le rapport avec le syndicalisme ? Les salariés français ont-ils voté pour cela ?

Dès lors, l’objectif le plus immédiat est de réduire drastiquement les sources de financement hors adhésions aux syndicats. Un syndicat doit pouvoir subvenir seul à ses besoins en se finançant grâce à l’adhésion qu’il suscite chez ceux qu’il aspire à représenter. L’indépendance est aussi à ce prix.

En outre, une réforme syndicale digne de ce nom doit rechercher davantage de pluralisme afin de ne plus laisser la place principale à quelques bastions ultra-politisés, une autre regrettable spécificité française.

Pour cela, il faut revenir sur le monopole dont disposent les syndicats représentatifs au premier tour des élections professionnelles. En l’absence de candidats syndiqués, c’est uniquement au second tour que les salariés retrouvent une véritable liberté de choix, avec la possibilité pour des salariés non syndiqués de se déclarer candidat. Dans nombres d’entreprises, la mise en concurrence avec de nouvelles listes permettra une émulation salutaire, une meilleure prise en compte des besoins du terrain, voire l’apparition de nouveaux syndicats plus représentatifs.

Nous devons également obliger les responsables syndicaux à maintenir une activité de salarié, pour éviter la multiplication des apparatchiks syndicaux et afin qu’ils conservent le contact avec le terrain. Il pourrait être envisagé en ce sens de diminuer les heures de délégations dans certaines situations, d’élargir le non-cumul des mandats et de limiter les mandats successifs à deux pour une même personne.

Enfin, pour compenser la perte de la manne non issue des adhésions, la généralisation du chèque syndical au-delà d’un certain seuil d’effectif pourrait être une piste. Il s‘agit d’une somme qu’une entreprise alloue chaque année à ses salariés pour qu’ils puissent avoir le choix d’adhérer ou pas à un syndicat et qui, si elle n’est pas utilisée, retourne dans les caisses de l’entreprise.

Toujours dans l’esprit d’inciter davantage les salariés à s’impliquer dans le dialogue social, il pourrait être imaginé d’importer un modèle pratiqué dans certains pays étrangers : à savoir, que les décisions obtenues à l’issue des négociations ne s’appliquent qu’aux salariés syndiqués et non à l’ensemble des salariés. De cette façon, les syndicats seront incités à négocier des accords gagnant-gagnant, plutôt que d’adopter des postures idéologiques et de faire le choix du blocage par principe. En outre, les salariés trouveraient un véritable intérêt à adhérer.

Une économie ne peut fonctionner sans un dialogue social constructif. Trop souvent en France, les syndicats contribuent à jouer sur les oppositions : employés contre chefs d’entreprise, ou encore actionnaires contre salariés. Pourtant, ces catégories n’ont pas vocation à s’opposer mais ont, au contraire, un intérêt commun à ce que l’entreprise réussisse.

Pour briser la culture syndicale contestataire et contre-productive, il est impératif que les travailleurs français réinvestissent le champ syndical dans un système réformé, indépendant et pluraliste.

Effets collatéraux de cette longue grève dans les transports…

CGT: Cancer Généralisé du Travail, fossoyeur de l’économie, MAIS ECOLOGIQUE !

GREVES SNCF QUI DURENT LONGTEMPS

La CGT SNCF va-t-elle encore nuire longtemps ?

Les salariés de la SNCF représentent 1 % du nombre des salariés français, mais 25 % du temps de grève en France. Ils ont un pouvoir de nuisance fabuleuse vis à vis des autres travailleurs.

La  capacité de nuire de ces planqués de communistes est fabuleuse !

Ce sont les fossoyeurs de l’économie. Quand ces minables ne sont plus protégés par leur statut, ils sont incapables de survivre dans une économie libérale. L’exemple France Télécom démontre pourquoi ces pauvres types,  vautrés dans le fromage « fonctionnariat » ont tellement peur de la privatisation. Ce sont des bons à rien qui agissent en meute, car incapables individuellement de construire : Ils ne connaissent que la grève et les blocages,  c’est à dire tout ce qui peut nuire aux pauvres.

Quand ces fainéants cessent de travailler, ils nuisent à plus pauvres qu’eux, aux travailleurs, aux jeunes sans permis, aux vieux qui ne peuvent plus conduire, aux pauvres qui n’ont pas de voiture en un mot, à ceux qui ont un besoin vital d’utiliser le train. 

Ils s’octroient impunément le droit de saboter leur outil de travail, menacer de faire sauter leur usine, de polluer les cours d’eau, insulter les forces de police, prendre en otage des cadres, faire fuir les investisseurs étrangers pour préserver des droits acquis au siècle dernier !

Pour mieux comprendre la grève SNCF
> > > > > Restez calmes en lisant ce qui suit : SNCF
> > > > > Recettes annuelles : 9 milliards d’euros
> > > > > Budget annuel : 18 milliards d’euros
> > > > > Subvention annuelle de l’état : 12 milliards d’euros soit un Crédit Lyonnais
> > > > > tous les deux ans avec nos impôts !
> > > > > Financement des retraites : 14 milliards toujours avec nos impôts
> > > > > Dette à financer : 2 milliards (SNCF +RFF, l’équivalent du CDR au Lyonnais)
> > > > > Situation d’un conducteur de TGV :
> > > > > Salaire : de 2 200 euros net en début de carrière (2 smics) a 3 200 EUR (4 880 EUR net conducteur TGV) en fin de carrière. Plus :
> > > > > – prime de fin d’année,
> > > > > – prime de travail (restons calme),
> > > > > – prime de parcours,
> > > > > – prime de TGV,
> > > > > – prime de charbon (vous lisez bien),
> > > > > – gratification de vacances (restons calme),
> > > > > – gratification annuelle d’exploitation,
> > > > > – indemnités pour heures supplémentaires,
> > > > > – allocation de déplacements (non imposable) etc.
> > > > > Horaire de travail : 25 heures par semaine (vive les 35 heures)
> > > > > Pour un conducteur TGV de 40 ans le salaire net Annuel toutes primes et avantages confondus s’élève a 75 000 EUR (source vie du rail 2002) (là vous pleurez !!!)
> > > > > Retraite à 52 ans pour les conducteurs et 57 ans pour les autres (quand la France entière doit travailler jusqu’à 60 ans)
> > > > > Soins : gratuits (sur leur temps de travail) auprès d’un des 15.900 établissements de soins agrées ou ils sont couverts à… 100 %
> > > > > Attendez…ce n’est pas fini !!!
> > > > > Autres privilèges : gratuité illimitée des transports pour les agents et leur famille (parents, grands-parents, conjoints, concubins etc.) gratuité qui ne font pas partie des avantages en nature donc exempts d’impôts,
> > > > > C.E. très généreux, ET L’EMPLOI A VIE… ET ILS OSENT SE METTRE EN GRÉVE ET PRENDRE LES USAGERS (le mot client n’existe pas a la SNCF) EN OTAGE …
> > > > > ET ON LAISSE FAIRE…
> > > > > Encore quelques petites dernières pour vous achever !

Pour les sédentaires qui n’avaient droit à aucune prime, la SNCF leur a créé la « prime d’absence de prime » !!! (texto !)
> > > > > La SNCF représente 1% des emplois en France mais ses salariés cumulent 20% des jours de grève effectués en France
> > > > > Faites suivre ce message à un maximum de gens autour de vous qui empruntent la SNCF régulièrement pour ne plus jamais entendre à chaque grève un  » usager  » à la radio dire : « Ils ont sûrement raison de faire grève
> > > > > Chut, faut pas le dire !!!

Comparaison entre cheminots Français et Allemands. Et si on remettait tout à plat ?

La vérité sur les conducteurs de TGV .. n’est -elle pas ahurissante.?>

Un TGV PARIS jusqu’à FRANCFORT

Le conducteur Français :

  • 4500 à 6000 euros par mois (prime de charbon (!!!) incluse)
  • semaine de 25 heures
  • retraite à 50 ans .
  • + avantages transport à vie

Un TGV FRANCFORT jusqu’à PARIS

Le conducteur Allemand :

  • 1500 à 2500 euros par mois
  • semaine de 41 heures
  • retraite à 67 ans

OUI…. 41 H PAR SEMAINE ET RETRAITE A 67 ANS. Cessez de vous foutre de notre gueule à la SNCF

 

Pour info ,ce que ne disent pas les médias – 01/2020

 Source https://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/remuneration-salaire/les-droles-de-salaires-de-la-cgt_2068134.html

Martinez, cette brute ignare n’a pas mis les pieds dans une entreprise depuis 1983. Il ne connaît rien à vos véritables problèmes. Il vous instrumentalise, profitant de votre désespoir.

Ses capacités intellectuelles très limitées ne lui permettent pas de pouvoir négocier. Il pousse donc à la grève, au blocage, à la destruction.

Révélations sur le salaire de Philippe Martinez à la CGT en 2018/2019

Le chef de file de la CGT, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat, a touché au total 55 000 € l’an passé. 6000 € en plus qu’en 2017. Même quand ça va mal, la CGT sait être généreuse avec ses cadres et avec son secrétaire général, Philippe Martinez. Grâce à des montages alambiqués.

C’est peu connu : la CGT gère aussi des « filiales », comme une entreprise privée.

La puissante fédération des métallos – dont est issu son secrétaire général, Philippe Martinez – possède ainsi la maternité parisienne des Bluets et trois centres de réadaptation professionnelle (CRP). Ces quatre établissements sont gérés au travers de l’association Ambroize Croizat (AAC), présidée par un proche du chef de file de la CGT, Yves Audvard. 

Les crises financières s’y succèdent et la gestion de la maison mère va souvent à l’encontre de ce que prône la CGT au niveau national. Les établissements étaient au bord du gouffre financier fin 2018. La directrice générale de l’AAC, Jacqueline Garcia, évoquait un risque de redressement judiciaire, voire de liquidation. Un plan social a été mis en œuvre et on a demandé aux salariés de se serrer la ceinture. 

Le loyer de l’hôpital finance la CGT

La faillite a été évitée grâce à l’agence régionale de santé (ARS) qui a injecté un million d’euros dans les caisses de l’hôpital fin 2018 et lui aurait concédé une avance de trésorerie de 1 657 000 euros le 1er mars. Cette perfusion d’argent public ne passe pas auprès des équipes de la maternité des Bluets. Selon ces dernières, la mauvaise santé financière de la maternité est la conséquence du coût trop élevé du loyer reversé au propriétaire des murs, la fédération des métallos : plus d’un million d’euros par an. 

La controverse n’est pas nouvelle : le montant élevé du loyer était déjà dénoncé il y a quelques années par l’ARS alors qu’elle soutenait financièrement l’hôpital. Mais la CGT refuse de le revoir à la baisse. Et pour cause, « [ce loyer] contribue au financement de plusieurs postes de permanents de la fédération pour l’activité syndicale », relève l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) dans un rapport au vitriol sur la gestion de la maternité par l’association Ambroize Croizat. 

« Un salaire déraisonnable »

Cette situation comptable alarmante n’empêche pas les militants du syndicat détenant des postes clés dans les structures d’AAC de s’octroyer de jolis salaires. Également directrice du Centre de réadaptation professionnelle (CRP) Jean-Pierre Timbaud à Montreuil (93), Jacqueline Garcia touchait 6853 € brut par mois en 2018, alors que l’établissement affichait un résultat comptable négatif de près d’un million d’euros en 2017. « Un salaire déraisonnable », s’étrangle un cadre de la maison. À titre de comparaison, le salaire médian d’un directeur d’EHPAD, un poste équivalent, est de 3750 € brut. 

La compagne de Philippe Martinez, Nathalie Gamiochipi, percevait, elle, 6021 € brut mensuels en 2018. Cette rémunération fait grincer des dents en interne. « Quand elle est arrivée, elle disait ne rien connaître aux finances et qu’elle “attendait que ses collaborateurs lui apprennent”, se souvient, amer, un employé de l’établissement. Elle n’a rien à faire, ce sont les cadres qui font tout. La preuve selon lui ? Lors du départ brutal du directeur de l’hôpital des Bluets, elle a assuré la transition avec la nouvelle direction tout en continuant à suivre une formation continue deux jours par semaine : « Si elle avait vraiment été occupée, elle n’aurait pas pu. » 

Plus surprenant, si l’on se fie au rapport de l’Igas, la maternité financerait donc indirectement le salaire du secrétaire général de la CGT lui-même, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat. Selon la centrale syndicale, il a touché 4230 € brut mensuels sur 13 mois en 2018, soit au total 55 000 € sur l’année, 6000 € de plus que l’année précédente. 

Selon cette dernière, la différence entre 2017 et 2018 s’explique « par les primes que l’entreprise Renault verse ou non à ses salariés ».

Employé par Renault, Philippe Martinez est payé par la fédération des métallos, qui se ferait rembourser par la confédération nationale. « La CGT a l’habitude de rémunérer ses représentants en calquant la politique salariale de l’entreprise à laquelle ils sont rattachés », explique un observateur.

Chez Renault, un ETAM (employé, technicien et agent de maîtrise) « moyen » – le statut de Philippe Martinez – qui travaille au technocentre toucherait entre 5500 et 6000 euros de primes : 3000 à 3500 euros d’intéressement groupe, 1200 euros d’intéressement local, entre 500 et 1000 euros liés à la performance individuelle et 300 euros venant de la récente prime défiscalisée.

 

Objet: Info tenue secrète

 

Communistes CGT (pléonasme) repris de justice, fossoyeurs de l’économie Française.

Amis travailleurs, vous n’allez quand même pas voter pour ça lors des prochaines élections professionnelles dans les TPE, pour ces malhonnêtes, agresseurs de policiers, cette dictature du prolétariat complètement dépassée.

Martinez, cette brute ignare n’a pas mis les pieds dans une entreprise depuis 1983. Il ne connaît rien à vos véritables problèmes. Il vous instrumentalise, profitant de votre désespoir.

C’est un rat dans le fromage syndical

Vous votez à 30 % pour le front national aux élections politiques. Vous n’allez quand même pas voter communiste aux prochaines élections professionnelles.

 Pour info ,ce que ne disent pas les médias -01/2020:

 Source https://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/remuneration-salaire/les-droles-de-salaires-de-la-cgt_2068134.html

Martinez, cette brute ignare n’a pas mis les pieds dans une entreprise depuis 1983. Il ne connaît rien à vos véritables problèmes. Il vous instrumentalise, profitant de votre désespoir.

Ses capacités intellectuelles très limitées ne lui permettent pas de pouvoir négocier. Il pousse donc à la grève, au blocage, à la destruction.

Révélations sur le salaire de Philippe Martinez à la CGT en 2018/2019

Le chef de file de la CGT, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat, a touché au total 55 000 € l’an passé. 6000 € en plus qu’en 2017. Même quand ça va mal, la CGT sait être généreuse avec ses cadres et avec son secrétaire général, Philippe Martinez. Grâce à des montages alambiqués.

C’est peu connu : la CGT gère aussi des « filiales », comme une entreprise privée.

La puissante fédération des métallos – dont est issu son secrétaire général, Philippe Martinez – possède ainsi la maternité parisienne des Bluets et trois centres de réadaptation professionnelle (CRP). Ces quatre établissements sont gérés au travers de l’association Ambroize Croizat (AAC), présidée par un proche du chef de file de la CGT, Yves Audvard. 

Les crises financières s’y succèdent et la gestion de la maison mère va souvent à l’encontre de ce que prône la CGT au niveau national. Les établissements étaient au bord du gouffre financier fin 2018. La directrice générale de l’AAC, Jacqueline Garcia, évoquait un risque de redressement judiciaire, voire de liquidation. Un plan social a été mis en œuvre et on a demandé aux salariés de se serrer la ceinture. 

Le loyer de l’hôpital finance la CGT

La faillite a été évitée grâce à l’agence régionale de santé (ARS) qui a injecté un million d’euros dans les caisses de l’hôpital fin 2018 et lui aurait concédé une avance de trésorerie de 1 657 000 euros le 1er mars. Cette perfusion d’argent public ne passe pas auprès des équipes de la maternité des Bluets. Selon ces dernières, la mauvaise santé financière de la maternité est la conséquence du coût trop élevé du loyer reversé au propriétaire des murs, la fédération des métallos : plus d’un million d’euros par an. 

La controverse n’est pas nouvelle : le montant élevé du loyer était déjà dénoncé il y a quelques années par l’ARS alors qu’elle soutenait financièrement l’hôpital. Mais la CGT refuse de le revoir à la baisse. Et pour cause, « [ce loyer] contribue au financement de plusieurs postes de permanents de la fédération pour l’activité syndicale », relève l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) dans un rapport au vitriol sur la gestion de la maternité par l’association Ambroize Croizat. 

« Un salaire déraisonnable »

Cette situation comptable alarmante n’empêche pas les militants du syndicat détenant des postes clés dans les structures d’AAC de s’octroyer de jolis salaires. Également directrice du Centre de réadaptation professionnelle (CRP) Jean-Pierre Timbaud à Montreuil (93), Jacqueline Garcia touchait 6853 € brut par mois en 2018, alors que l’établissement affichait un résultat comptable négatif de près d’un million d’euros en 2017. « Un salaire déraisonnable », s’étrangle un cadre de la maison. À titre de comparaison, le salaire médian d’un directeur d’EHPAD, un poste équivalent, est de 3750 € brut. 

La compagne de Philippe Martinez, Nathalie Gamiochipi, percevait, elle, 6021 € brut mensuels en 2018. Cette rémunération fait grincer des dents en interne. « Quand elle est arrivée, elle disait ne rien connaître aux finances et qu’elle “attendait que ses collaborateurs lui apprennent”, se souvient, amer, un employé de l’établissement. Elle n’a rien à faire, ce sont les cadres qui font tout. La preuve selon lui ? Lors du départ brutal du directeur de l’hôpital des Bluets, elle a assuré la transition avec la nouvelle direction tout en continuant à suivre une formation continue deux jours par semaine : « Si elle avait vraiment été occupée, elle n’aurait pas pu. » 

Plus surprenant, si l’on se fie au rapport de l’Igas, la maternité financerait donc indirectement le salaire du secrétaire général de la CGT lui-même, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat. Selon la centrale syndicale, il a touché 4230 € brut mensuels sur 13 mois en 2018, soit au total 55 000 € sur l’année, 6000 € de plus que l’année précédente. 

Selon cette dernière, la différence entre 2017 et 2018 s’explique « par les primes que l’entreprise Renault verse ou non à ses salariés ».

Employé par Renault, Philippe Martinez est payé par la fédération des métallos, qui se ferait rembourser par la confédération nationale. « La CGT a l’habitude de rémunérer ses représentants en calquant la politique salariale de l’entreprise à laquelle ils sont rattachés », explique un observateur.

Chez Renault, un ETAM (employé, technicien et agent de maîtrise) « moyen » – le statut de Philippe Martinez – qui travaille au technocentre toucherait entre 5500 et 6000 euros de primes : 3000 à 3500 euros d’intéressement groupe, 1200 euros d’intéressement local, entre 500 et 1000 euros liés à la performance individuelle et 300 euros venant de la récente prime défiscalisée.

 

Objet: Info tenue secrète

> > Des peines d’emprisonnement de 2 mois à 18 mois avec sursis, des amendes
> > de 4.000 à 75.000 euros, les communistes morflent et les copains-coquins
> > journalistes étouffent l’affaire. Le 1er octobre dernier, la CGT, l’Humanité,
> > le Parti communiste et sa nébuleuse opaque et corrompue ont été lourdement
> > condamnés par le tribunal correctionnel de Paris. Malversations, abus de
> > confiance, recel, emplois fictifs, détournements de fonds.
> > Douze condamnations ont été prononcées dans les rangs communistes et
> > syndicaux pour malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs,
> > et détournements de plusieurs millions d’Euros. La liste est aussi longue
> > que pour un procès de la mafia.
> >
> > Et rien dans les médias !
> >
> > Des têtes sont tombées dans le panier de crabe aux escrocs communistes en
> > col blanc, et ont été publiquement humiliées. Les journalistes ont pris
> > soin de les taire.
> >
> > Les voici :
> >
> > Jean Lavielle, ex président du Comité d’entreprise EDF, a écopé d’une
> > lourde condamnation : 18 mois d’emprisonnement avec sursis et 4 000 euros
> > d’amende il était le principal inculpé et présidait le Comité d’entreprise
> > EDF, la CCAS, ou Caisse centrale d’activités sociales,
> > Son ancien directeur général, Jean-Paul Blandino , en prend pour 8 mois de
> > prison avec sursis.
> > La sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin écope de 10 mois de
> > prison avec sursis pour emploi fictif grassement rémunéré par le CE alors
> > qu’elle travaillait pour la fédération du parti communiste des
> > Hauts-de-Seine.
> > Jacques Lefèvre , ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis,
> > Jean-Paul Escoffier , ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis
> > Pascal Lazarre , ex-vice-président de la CCAS, 8 mois d’emprisonnement
> > avec sursis,
> > La CGT a été condamnée à 20 000 euros d’amende, La fédération des Mines et
> > de l’énergie CGT, 20 000 euros d’amende,
> > LIforep, qui a détourné plus d’un million d’Euros avec l’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende,
> > l’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende aussi.
> > Au total, huit personnes et quatre organisations ont été condamnées.
> > En juin, l’audience avait duré trois semaines, « trois semaines de
> > silences gênés des médias »
> > « Trois semaines de silences gênés dans les grands médias audiovisuels et les principaux quotidiens » fait remarquer Jean Nouailhac dans le Point enprécisant que « les quotidiens parisiens sont dépendants de la CGT pour être imprimés par le Syndicat du livre CGT » comme pour passer sous
> > silence les connivences et liens idéologiques forts qui lient les uns aux autres.
> > Le comité d’entreprise EDF, ou CCAS, détient plus d’un milliard d’Euros
> > d’actifs et un budget de 500 millions d’Euros par an sans aucune raison
> > sur vos factures EDF.
> > Et cette grosse machine à sous, caisse noire du Parti communiste, est  entre les mains de la CGT, camarade !
> > Ainsi, tandis que les journalistes étalaient leur jouissance à évoquer l’affaire Bygmalion qui n’est encore que rumeurs contre des
> > hommes de droite, ils ont observé un silence de mort sur les condamnations
> > fermes et lourdes des voyous en cols blancs de la CGT, du Parti
> > communiste, du journal l’humanité, et du fournisseur d’argent sale, le «
> > comité » d’entreprise EDF.
> > La presse et la télé française, c’est la honte.
> > ET N’HESITEZ PAS A FAIRE SUIVRE AU PLUS GRAND NOMBRE !!!

Le communiste CGT Thierry Lepaon cherche un parachute doré.

Ami travailleur, quand tu votes CGT aux élections professionnelles, tu votes communiste !

Matignon aurait trouvé un nouvel emploi pour Thierry Lepaon.

On ne sait plus quoi faire de ce résidu de syndicaliste communiste stalinien. Sorti de son pouvoir de nuisance et de destruction d’emplois, il n’est pas recyclable !

03 LEPAON CGT image002 (1)

Thierry Lepaon CGT  regrette la belle époque de la dictature du prolétariat pendant laquelle les bons à rien de son genre avaient une situation assurée à vie, hors purges !

 Boursier.com, publié le mercredi 20 juillet 2016 à 15h59

L’ancien leader de la CGT, Thierry Lepaon, aurait trouvé un nouvel emploi. Selon les informations des ‘Echos’, le Premier ministre, Manuel Valls, l’aurait chargé de travailler jusqu’à l’automne « sur la future Agence de la langue française pour la cohésion sociale ». « Une mission officielle et peut-être rémunérée », précise le quotidien. Thierry Leapon serait également intéressé pour prendre la présidence de cette agence, là encore, en échange d’une rémunération.

Intérêt de Lepaon pour l’Agence de lutte contre l’illétrisme

‘Les Echos’ rappellent que Matignon cherche depuis plusieurs mois déjà à « recaser » l’ancien leader syndical. Après avoir un temps songé au Conseil économique, social et environnemental, l’idée de cette agence est venue.

De son côté, Thierry Lepaon, a manifesté son intérêt pour un organisme déjà existant : l’Agence de lutte contre l’illettrisme, alors qu’il a écrit par le passé un rapport sur le sujet. Mais alors que la présidente actuelle, Marie-Thérèse Geffroy, est bénévole, Thierry Lepaon aurait fait part de certaines prétentions salariales, indiquent encore ‘Les Echos’.

Poussé vers la sortie…

Thierry Lepaon a démissionné de ses fonctions en janvier 2015, accablé par une série d’affaires, à commencer par la rénovation coûteuse de son bureau, révélée par ‘Le Canard Enchaîné’. Il avait également touché des indemnités de départ au moment de quitter l’union de Basse-Normandie pour le siège de la fédération.

‘Les Echos’ indiquent cependant que Thierry Lepaon a continué à être payé par la CGT jusqu’au 51ème congrès de la centrale, qui s’est tenu en avril dernier, tout en occupant son logement de fonction situé à Vincennes. Au total, la CGT a déboursé 150.000 euros depuis sa démission.

Ces planqués privilégiés de la SNCF

Objet : TGV Allemand et TGV Français, comparaison

 Comparaison entre cheminots Français et Allemands. Et si on remettait tout à plat ?

La vérité sur les conducteurs de TGV .. n’est -elle pas ahurissante.?>

Un TGV PARIS jusqu’à FRANCFORT

Le conducteur Français :

•    4500 à 6000 euros par mois (prime de charbon (!!!) incluse)

•    semaine de 25 heures

•    retraite à 50 ans .

•    + avantages transport à vie

Un TGV FRANCFORT jusqu’à PARIS

Le conducteur Allemand :

•    1500 à 2500 euros par mois

•    semaine de 41 heures

•    retraite à 67 ans

OUI…. 41 H PAR SEMAINE ET RETRAITE A 67 ANS. Cessez de vous foutre de notre gueule à la SNCF

SOURCE ….Émission Yves CALVI c’est dans l’air

Le vase déborde AVEC la SNCF

> > > > > > > > > VOUS DEVEZ DIFFUSER CE COURRIEL A TOUTES VOS

CGT, Communistes, même panier de crabes, intouchables

Sujet : Tr : Aucun média n’en a parlé… faut le savoir !!!

Amis travailleurs, quand vous votez pour la CGT aux élections professionnelles, VOUS VOTEZ COMMUNISTE, pour la dictature du prolétariat qui voue une haine viscérale au Front National.

Pourtant 32 % du monde ouvrier votent pour le Front National pendant les élections politiques. Allez comprendre !

Pour information :

La CGT et le CE d’EDF lourdement condamnés.

SILENCE ASSOURDISSANT DES MEDIAS, comme d’habitude quand il s’agit des fascistes rouges

La CGT et le PC lourdement condamnés, mais personne n’en parle !

Le 1er octobre dernier, la CGT, l’Humanité, le Parti communiste et sa nébuleuse opaque et corrompue ont été lourdement condamnés par le tribunal correctionnel de Paris. Malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, détournements de fonds.

Douze condamnations ont été prononcées dans les rangs communistes et syndicaux pour malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, et détournements de plusieurs millions d’euros. La liste est aussi longue que pour un procès de la mafia.

Et rien dans les médias !!!

Des têtes sont tombées, mais les journalistes ont pris soin de le taire…

> Les voici :

> • Jean Lavielle, ex président du Comité d’entreprise EDF, a écopé d’une lourde condamnation : 18 mois d’emprisonnement avec sursis et 4 000 euros d’amende – il était le principal inculpé et présidait le Comité d’entreprise EDF, la CCAS, ou Caisse centrale d’activités sociales.

> • Son ancien directeur général, Jean-Paul Blandino, en prend pour 8 mois de prison avec sursis.

> • La sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin, écope de 10 mois de prison avec sursis pour emploi fictif grassement rémunéré par le CE alors qu’elle travaillait pour la fédération du parti communiste des Hauts-de-Seine.

> • Jacques Lefèvre, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis.

> • Jean-Paul Escoffier, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis.

> • Pascal Aubrée, ex-président de l’IFOREP, 6 mois d’emprisonnement avec sursis.

> • Pascal Lazarre, ex-vice-président de la CCAS, 8 mois d’emprisonnement avec sursis.

> • La CGT a été condamnée à 20.000 EUR d’amende.

> • La Fédération des Mines et de l’Énergie CGT, 20.000 EUR d’amende.

> • L’Iforep, qui a détourné plus d’un million d’EUR avec l’Humanité, condamnée à 75.000 EUR d’amende.

> • L’Humanité, condamnée à 75.000 EUR d’amende aussi.

> Au total, huit personnes et quatre organisations ont été condamnées. En juin, l’audience avait duré trois semaines, « trois semaines de silences gênés des médias », « Trois semaines de silences gênés dans les grands médias audiovisuels et les principaux quotidiens » fait remarquer Jean Nouailhac dans le Point, en précisant que « les quotidiens parisiens sont dépendants de la CGT pour être imprimés par le Syndicat du livre CGT » comme pour passer sous silence les connivences et liens idéologiques forts qui lient les uns aux autres.

> Le comité d’entreprise EDF, ou CCAS, détient plus d’1 milliard d’EUR d’actifs et un budget de 500 millions d’EUR par an, sans aucune raison sur vos factures EDF. Vous devez savoir que, sur le montant de vos factures, le comité d’entreprise d’EDF perçoit 1 % -OUI, UN pour CENT- pour ses « ouvres »

> sociales… Et cette grosse machine à sous « caisse noire » du Parti communiste, est entre les mains de la CGT, camarade !!!

> Ainsi, tandis que les journalistes étalent leur jouissance et leur orgasme à évoquer l’affaire Bygmalion –qui n’est encore que rumeurs contre des hommes de droite- ils ont observé un silence de mort sur les condamnations fermes et lourdes des « cols blancs » de la CGT, du « Parti communiste », du journal « l’Humanité », et du fournisseur d’argent sale, le « comité d’entreprise » EDF.

BERTRAND DELANOË EPINGLE!!! EN FUITE EN TUNISIE

Objet: Tr: BERTRAND DELANOË EPINGLE !!! EN FUITE EN TUNISIE
Lorsqu’il tenait l’Hôtel de ville de PARIS, Jacques CHIRAC appointait
discrètement 21 personnes qui travaillaient en réalité pour le RPR.
Avec l’aide de l’UMP, il vient d’ailleurs de rembourser la somme de 2,2 millions d’euros à la Mairie de Paris.
Eh bien, selon la revue  » CAPITAL « , Bertrand DELANOË fait mieux encore !
Voilà neuf ans que ce cachottier finance avec l’argent du Contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT et son « Ami», planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP…
Dans un rapport au vitriol, l’Inspection générale de la ville de PARIS, chiffre à 1,2 million d’euros par an, le coût de ce petit cadeau consenti, sans aucun fondement juridique, à l’organisation de Bernard THIBAULT… On peut donc estimer que plus de 10 millions d’euros ont été consacrés depuis 2001, à cette œœuvre charitable.
Cinq fois plus que les frasques de Jacques CHIRAC ! Source : Magazine Capital.
Même, en s’y mettant à deux, Bertrand DELANOË et Bernard THIBAULT auront beaucoup de mal à rembourser !!!!
Sur cette affaire, les médias, tenus par la Gauche, sont restés très discrets !!!.et le Gouvernement aussi ! (ben voyons ! bien voyous !)
Vous pouvez lire l’intégralité de cet article dans le site :
http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730>
SURTOUT, FAITES SUIVRE : IL FAUT QU’UN MAXIMUM DE FRANÇAIS SOIENT INFORMES
IL FAUT BIEN QUE LA GAUCHE SOIT ÉCLABOUSSE PAR SES PROPRES SCANDALES !!
Plus corrompu qu’un socialiste, y a pas…

Quand les syndicats véreux font couler les entreprises !

Quand les syndicats véreux font couler les entreprises ! Stupéfiant !

Quand les syndicats véreux font couler les entreprises ! Stupéfiant !
J’étais au courant de la pratique des cabines « réservées CGT » pour leurs familles et leurs petites magouilles mais à ce point c’est consternant.
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Très forts le personnel de la SNCM .
source: leparisien.fr
> > Nouveau scandale à la SNCM: le personnel se partageait illégalement les recettes des ventes effectuées durant les traversées.
> > Les coûteux trafics du personnel de la SNCM
> > Les experts liés aux futurs repreneurs de la SNCM ont découvert que les marins et les syndicats de la SNCM n’hésitaient pas à voler l’argent des ventes effectuées à bord pendant la traversée entre le continent et la Corse ( voir aussi Enquête sur la CGT). Le personnel de la SNCM se partageait l’argent des ventes de tabac, d’alcool, de produits dérivés ainsi que l’argent de la restauration.
> > En étudiant les comptes de la compagnie ferroviaire, les experts ont également découvert que le personnel de la SNCM se servait allègrement et gratuitement dans les stocks de vivres ( viande, poisson, boissons, charcuterie, etc…). Conséquence de ce coûteux trafic, la SNCM présentait un bilan presque nul sur le poste des ventes de produits dérivés à bord, alors que Corsica Ferries, la compagnie concurrente, réalise près d’ 1 tiers de son chiffre d’affaires grâce à la vente de ces produits.
> > La SNCM était au courant de ces trafics illégaux et avait volontairement choisi d’abandonner, en toute illégalité, la gestion pourtant lucrative de cette activité. « C’est chez nous un élément de politique sociale », explique la direction de la SNCM.
> > Un responsable marseillais précise encore un peu plus les dessous de ce trafic illégal: « On comprend pourquoi les marins voulaient conserver intact leur service public et refusaient coûte que coûte toute idée de privatisation. Ils arrondissaient ainsi sérieusement leurs fins de mois, et, comme de par les avantages statutaires ils ne travaillent que six mois par an, plusieurs d’entre eux possédaient d’autres activités professionnelles souvent dans la restauration. Une partie des prises de la SNCM était ainsi recyclée dans le commerce local. […] Les paiements en liquide restaient très souvent dans l’escarcelle de l’équipage qui se les partageait sous l’oeil intéressé de certaines organisations syndicales. Ces dernières avaient d’ailleurs un certain nombre de cabines à disposition sur chaque voyage et, selon qu’on partait du continent ou de Corse, on pouvait, à condition de connaître le bon syndicat, en dégoter une, moyennant versement en cash. »
> > « Pendant des années, les ventes à bord ont ainsi financé de nombreuses caisses noires marseillaises et corses, puisque c’était le contribuable qui payait, tout le monde y trouvait son compte », explique enfin un haut fonctionnaire ( voir Combien coûte la grève à la SNCM ?).
> > source: leparisien.fr
> > quel Scandale!!!!

Et pourtant, ils devraient montrer l’exemple, mais non:

La CFDT condamnée pour non-respect de ses obligations d’employeur envers une salariée

Une cadre du syndicat en invalidité, qui accusait son responsable de harcèlement, avait porté l’affaire aux prud’hommes.

LE MONDE | 15.03.2018 à 15h44 |Par Francine Aizicovici

La confédération CFDT a été condamnée mercredi 14 mars par le conseil de prud’hommes de Paris pour non-respect de ses obligations d’employeur envers sa salariée cadre Josette Méhat, secrétaire confédérale. Le bureau de jugement, composé de deux conseillers salariés et de deux conseillers employeurs, a dès lors prononcé la résiliation judiciaire du contrat de travail de Mme Méhat aux torts de l’employeur, le GIE Belleville, structure qui salarie les permanents et autres personnels de la CFDT. Il lui accorde la somme de 40 000 euros environ. Le jugement écrit n’étant pas disponible avant plusieurs semaines ou mois, il n’est pas possible pour l’heure de connaître exactement les motivations retenues par les conseillers.

Mme Méhat estimait que son employeur avait manqué à son obligation légale de préservation de sa santé physique et mentale, face à ce qu’elle dénonce comme un « harcèlement moral » de la part de son supérieur, un secrétaire national en charge des questions de santé au travail à la condéfération. Même si le tribunal a ordonné le versement d’une somme trois fois plus faible au montant qu’elle demandait, elle se dit « soulagée. Enfin, on reconnaît ce que j’ai subi . La CFDT n’est pas au-dessus des lois. »

« Souffrance morale au travail »

Mme Méhat travaillait depuis 2010 en tant qu’« assistante politique » de son supérieur. Elle avait été embauchée en 2008 à la confédération, après 10 années en tant que permanente dans diverses structures de la CFDT. En dépression, Mme Méhat est en invalidité de 2e catégorie depuis le 1er juillet 2016. Son état a été qualifié d’« anxio-dépressif réactionnel » lié à une « souffrance morale au travail » par le médecin expert de la caisse primaire d’assurance maladie. Un lien que la CFDT conteste.

Tout allait bien jusqu’au retour des congés d’été de 2014, relate Mme Méhat qui décrit ainsi l’attitude de son supérieur : « Il ne me disait pas bonjour, me faisait des remarques désagréables.» Cette situation a perduré. « En novembre 2014, j’en informe Laurent Berger [secrétaire général de la CFDT]. Il me dit d’en parleravec mon supérieur. J’ai essayé. Ce dernier m’a juste dit que je n’étais “pas assez présente”. Pour moi, ce n’est pas la raison de son comportement. J’ai tenté de tenir, je ne voulais pas que ce problème s’ébruite. Je suis une militante avant tout. » Pour le même motif, avance-t-elle, elle ne fera pas état de son mal-être lors de son entretien professionnel en novembre 2014 avec le responsable des ressources humaines, Didier Cauchois.

« J’allais faire une grosse bêtise »

Son chef l’installe dans un bureau voisin. « Les relations avec lui continuaient de se dégrader. Et peu à peu, mon poste s’est vidé. » Mme Méhat dit avoir alerté à nouveau Laurent Berger qui l’aurait renvoyé encore à une discussion avec son chef.

Lire aussi :   Les syndicats s’initient à la défense des salariées victimes d’agressions

Le 10 mars 2015, à 8 heures du matin, elle se retrouve au 8e étage, sur la terrasse du bâtiment confédéral. « J’ai réalisé que j’allais faire une grosse bêtise », se souvient-elle. Le lendemain, elle informe par courrier M. Berger qu’elle exerce son droit de retrait à compter du 15 mars 2015. « J’ai découvert le problème ce jour-là, assure M. Berger. On l’a mise aussitôt dans un autre bureau, on lui a même proposé un autre poste.» Mais quelques jours après, Mme Méhat est mise en arrêt maladie. M. Berger affirme que son supérieur « est tombé de l’armoire » quand il a parlé de ce problème avec lui. « Je ne conteste pas le mal-être de Josette mais son imputabilité » aux conditions de travail,souligne M. Cauchois, jugeant sa démarche « vénale ». « Il n’y a pas l’ombre d’un témoignage de faits de harcèlement » dans le dossier de la salariée, dit-il, se « réservant » la possibilité de faire appel après la lecture du jugement.

LE MONDE | 15.03.2018 à 15h44 |Par Francine Aizicovici